Sécurité : « 102 interpellations pour des actes antisémites ou d’apologie du terrorisme » annonce Darmanin
Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a annoncé lundi que 102 personnes avaient été interpellées pour des actes antisémites ou d'apologie du terrorisme depuis les attaques du Hamas contre Israël.
A l’issue du Conseil de défense qui s’est tenu ce lundi à l’Elysée, le ministre de l’intérieur a donné une conférence de presse au cours de laquelle, il a précisé le nombre de personnes interpellées depuis le 7 octobre, date l’attaque du Hamas. « 102 pour des actes antisémites ou pour apologie du terrorisme »
« Ce matin encore, la DGSI (direction générale de la sécurité intérieure) a procédé à deux interpellations, l’une dans l’est de la France, l’autre dans le sud-ouest de la France », a encore affirmé Gérald Darmanin. Selon le ministre, 237 signalements sur la plateforme en ligne Pharos ont été transmis à la justice.
En outre, le ministre de l’Intérieur a indiqué qu’il allait réexaminer les cas de 193 étrangers radicalisés en situation irrégulière.
Après l’adoption de la loi spéciale pour assurer la continuité de l’Etat, le gouvernement devra reprendre les débats au Parlement, début janvier, pour espérer faire adopter un budget pour l’année 2026. Une opération délicate dans un paysage politique fragmenté et avec un calendrier contraint.
A quelques mois des élections municipales de mars 2026, la Commission nationale des comptes de campagne et de financements politiques s’inquiète des risques de corruption liés au narcotrafic qui pourraient peser sur les scrutins, et les maires une fois élus.
Les promeneurs, touristes ou Parisiens qui déambulent sur le parvis de Notre-Dame, s’imaginent-ils qu’à quelques pas de là se dressait au Moyen Âge, l’une des plus somptueuses résidences d’Europe ? Et surtout, comment, six siècles plus tard, le tout premier palais de nos rois, bâti sur l’île de la Cité, au beau milieu de la capitale, a-t-il pu devenir ce fantôme de l’Histoire ? Dans son documentaire Le mystère du palais disparu, Stéphane Jacques retrace l’enquête menée par un trio de scientifiques spécialistes de la reconstitution numérique.
Suite aux « fausses informations » relayées sur le sujet de la « labellisation » des médias, l’Elysée a décidé de vite les démentir, via une vidéo sur X. Une nouvelle stratégie de communication, à l’œuvre depuis quelques mois, déjà observée lors d’une prétendue prise de cocaïne par Emmanuel Macron. Lui-même « victime » des affres des réseaux avec l’infox Jean-Michel Trogneux, il est d’autant plus sensibilisé à cet enjeu démocratique.