Ségolène Royal demande que l’on « réprime très rapidement » Extinction Rebellion
L'ancienne ministre de l'Environnement Ségolène Royal a demandé que l'on "réprime très rapidement" les mouvements comme...

Ségolène Royal demande que l’on « réprime très rapidement » Extinction Rebellion

L'ancienne ministre de l'Environnement Ségolène Royal a demandé que l'on "réprime très rapidement" les mouvements comme...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

L'ancienne ministre de l'Environnement Ségolène Royal a demandé que l'on "réprime très rapidement" les mouvements comme Extinction Rebellion, lundi à l'antenne de France Inter.

Interrogée sur les militants qui revendiquent la désobéissance civile pour sauver la planète, Ségolène Royal a souligné que ces formes de militantisme n'étaient "absolument pas" légitimes.

"Il y a une instrumentalisation de l'écologie par ces groupes violents et il faut les réprimer très rapidement, parce que c'est une dégradation de l'image de l'écologie", a souligné l'ancienne ministre socialiste de l'Ecologie, nommée ambassadrice des négociations sur les pôles Arctique et Antarctique par Emmanuel Macron.

Des centaines de militants écologistes ont occupé pendant 17 heures un centre commercial parisien entre samedi et dimanche pour lancer une semaine d'action mondiale du mouvement Extinction Rebellion (XR), qui a pour mode opératoire des actions radicales mais non-violentes.

Cette "instrumentalisation" pourrait "disqualifier toutes les actions pro environnementales, qui risquent d'être associées à ce type d'agressions et de violences", a assuré l'ancienne ministre de l'Environnement, chantre d'une "réconciliation intelligente entre le développement économique et la protection de l'environnement".

"L'écologie c'est la paix. C'est des règles, de la discipline, mais l'écologie doit conduire à l'apaisement des sociétés", a conclu Ségolène Royal.

Partager cet article

Dans la même thématique

SIPA_01059366_000001
7min

Politique

Bataille audiovisuel public/médias Bolloré : « Ce n’est pas la gauche contre la droite, mais un modèle démocratique contre un modèle illibéral »

Le paysage audiovisuel français est en train de se fracturer en deux blocs. L’animateur vedette, Pascal Praud a accusé la patronne de France Télévision, Delphine Ernotte de mettre « une cible » sur les journalistes sa chaîne, après que cette dernière a qualifié CNews de « chaîne d’extrême droite ». A moins de deux ans de l’élection présidentielle, l’Arcom, le gendarme de l’audiovisuel, subit une pression inédite. Son président, Martin Ajdari sera, auditionné dans quelques jours au Sénat.

Le

Ségolène Royal demande que l’on « réprime très rapidement » Extinction Rebellion
5min

Politique

Mobilisation du 18 septembre : « Soit une politique de rupture est menée, soit on continue à mettre la pression »

A l’appel de l’intersyndicale, des centaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue partout en France pour protester contre le projet de budget pour 2026. Dans le cortège parisien, les manifestants, pas convaincus par la nomination de Sébastien Lecornu à Matignon, sont déterminés à maintenir la pression sur l’exécutif. Reportage.

Le

SIPA_01229633_000009
1min

Politique

Info Public Sénat. Bataille audiovisuel public/médias Bolloré : une délégation de sénateurs LR reçue à Radio France le 30 septembre

Alors que le ton se durcit entre les dirigeants de l’audiovisuel public et la chaîne CNews de Vincent Bolloré, qualifiée « d’extrême droite » par Delphine Ernotte, une délégation de sénateurs LR sera reçue par la patronne de Radio France Sibyle Veil le 30 septembre. Le 1er octobre, le président de l’Arcom, Martin Ajdari sera, lui, auditionné par la commission de la culture et de la communication de la chambre haute.

Le