Ségolène Royal: Emmanuel Macron est un homme de gauche
Emmanuel Macron est un homme de gauche, a estimé mercredi Ségolène Royal sur RMC/BFMTV, expliquant qu'elle pourrait ne pas...

Ségolène Royal: Emmanuel Macron est un homme de gauche

Emmanuel Macron est un homme de gauche, a estimé mercredi Ségolène Royal sur RMC/BFMTV, expliquant qu'elle pourrait ne pas...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Emmanuel Macron est un homme de gauche, a estimé mercredi Ségolène Royal sur RMC/BFMTV, expliquant qu'elle pourrait ne pas soutenir le candidat socialiste à l'élection présidentielle et lui préférer l'ex-ministre de l'Economie.

"Emmanuel Macron est-il un homme de gauche?" "Bien sûr, ça ne fait aucun doute", a répondu Ségolène Royal à la question du journaliste Jean-Jacques Bourdin.

Si le candidat du PS n'est pas suffisamment bien placé dans les sondages à quelques semaines de l'élection, "il faut se réunir et se dire: comment fait-on pour assurer la présence de la gauche au second tour de l'élection présidentielle?", a expliqué la candidate du PS à l'élection présidentielle de 2007.

"Ce que je soutiendrai, c'est le rassemblement, avec le vainqueur des primaires bien évidemment (…) ou avec Emmanuel Macron", a-t-elle souligné. "S'il y a plusieurs candidats à gauche, il n'y a aucune chance".

"Il faut que les Français aient le choix à la présidentielle entre deux partis de gouvernement: la gauche de gouvernement et la droite de gouvernement", a lancé Ségolène Royal.

"Une fois désigné le vainqueur de la primaire, je verrai en fonction de tout: de l'ambiance, du niveau de la primaire, de ce qui se passe, de ce qui se dit. Je n'ai aucune contrainte. Je ferai ce qui me semble le plus utile à la victoire de la gauche", avait-elle déclaré dimanche au JDD.

Ségolène Royal a indiqué qu'elle ne voterait pas au second tour de la primaire élargie du PS, dimanche, comme François Hollande, car elle sera au sommet de l'Union africaine "pour faire avancer le dossier sur les énergies renouvelables en Afrique".

Partager cet article

Dans la même thématique

Ségolène Royal: Emmanuel Macron est un homme de gauche
5min

Politique

Fiscalité des entreprises : devant le Sénat le patron du Medef « heurté » par la « déconnexion » du débat budgétaire

Alors que le Sénat démarre l’examen du budget ce jeudi, la délégation aux entreprises organisait une table ronde avec les représentants du patronat. L’occasion pour Patrick Martin, président du Medef de mettre en cause certaines données qui circulent dans le débat public notamment le chiffre de 211 milliards d’aides aux entreprises issu d’une commission d’enquête de la chambre haute.

Le

France Military Service
4min

Politique

Emmanuel Macron dévoile un nouveau service national « militaire » et « volontaire » : à quoi va-t-il ressembler ?

En visite à Varces, en Isère, Emmanuel Macron a présenté jeudi les contours d’un nouveau service national volontaire entièrement militaire, appelé à devenir l’un des piliers d’un modèle de défense renouvelé. Une annonce qui intervient alors que l’exécutif et l’état-major alertent sur la montée des tensions internationales, notamment face à la Russie.

Le

Paris : session of questions to the government at the French National Assembly
6min

Politique

Budget : où en est-on du calendrier et des délais d’examen ?

Les textes se croisent. Après l’adoption du budget de la Sécu par les sénateurs et l’échec de la commission mixte paritaire mercredi soir, les sénateurs entament l’examen du projet de loi de finances ce jeudi. Alors que les délais sont contraints, rappel des prochaines dates clefs.

Le

Ségolène Royal: Emmanuel Macron est un homme de gauche
3min

Politique

« Pas de nouvelles discussions sur le budget de la Sécu » : Hervé Marseille annonce l’usage d’une question préalable en nouvelle lecture au Sénat

Invité de la matinale de Public Sénat, le président du groupe Union centriste (UC), Hervé Marseille est revenu sur les discussions budgétaires en cours. Au lendemain de l’adoption du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) par les sénateurs et de l’échec par la suite de la Commission mixte paritaire (CMP), l’élu centriste s’est dit toujours attaché à un « compromis avec les socialistes ». Mais en raison d’un calendrier serré, il prévoit l’usage d’une question préalable lors du retour du PLFSS au Sénat pour éviter une nouvelle lecture.

Le