Selon David Rachline, si des maladies disparues reviennent, c’est à cause de l’immigration de masse
« Au fait, vous êtes-vous demandé pourquoi les maladies disparues de notre sol depuis longtemps refaisaient surface ? » a lancé le sénateur Front national du Var, David Rachline.

Selon David Rachline, si des maladies disparues reviennent, c’est à cause de l’immigration de masse

« Au fait, vous êtes-vous demandé pourquoi les maladies disparues de notre sol depuis longtemps refaisaient surface ? » a lancé le sénateur Front national du Var, David Rachline.
Public Sénat

Par Pierre de Boissieu

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« Il faut avoir le courage de dire que l’immigration de masse, dans ce domaine, est la meilleure piste de réponse » a-t-il avancé.

David Rachline a par ailleurs dénoncé l’absence des « grands problèmes qui préoccupent nos compatriotes » dans les propos du Premier ministre, Édouard Philippe, comme dans ceux du président de la République devant le congrès du Parlement à Versailles ce lundi : «  l’insécurité, l’immigration subie et le chômage de masse. » Par ailleurs, sur le droit d’asile, « concrètement, on fait quoi ? » a-t-il interrogé, exigeant du Premier ministre qu’il « lutte beaucoup plus efficacement contre les passeurs, surtout quand ils sont déguisés en ONG. » David Rachline préconise ainsi de « prendre, comme l’Australie, des mesures drastiques. »

Selon David Rachline, si des maladies disparues reviennent, c’est à cause de l’immigration de masse.
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 « Votre objectif n’est pas de faire baisser le chômage, qui touche plusieurs millions de nos compatriotes, mais d’abord de respecter la règle maastrichtienne des 3 % pour obéir aux commissaires bruxellois » a regretté David Rachline. « Les caisses sont vides, qu’à cela ne tienne, vous augmentez les impôts. CSG, cigarettes, diesel : vous patinez certaines de ses hausses de bons sentiments, mais le but est juste de faire entrer de l’argent sans avoir à changer de modèle » a martelé le sénateur de Front national.

David Rachline a interpellé Edouard Philippe sur le droit d’asile : « concrètement, on fait quoi ? »
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