François Bayrou écarte une suspension de la réforme des retraites
A quelques heures du discours de politique générale, le premier ministre a commencé à donner ses arbitrages aux présidents des groupes du socle commun.
Par Helena Berkaoui
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Le sénateur des Hauts-de-Seine considère durement les sénateurs élus sous l’étiquette En marche qui ont ensuite rejoint d’autre groupe au Sénat. André Gattolin estime qu’il « y a une part d’opportunisme » chez eux. Il l’explique par un « deuxième tour » informel qui donne lieu à des « tractations » au palais du Luxembourg. « Cette maison est toujours très forte dans le politique du vieux monde » conclut-il.
André Gattolin n’a pas « l’impression qu’il y ait une volonté aujourd’hui de grande ouverture » de la part de la majorité sénatoriale. L’élu des Hauts-de-Seine, précise que son groupe est « dans une sympathie constructive. » «Nous attendons de voir comment le président du Sénat va essayer de faire fonctionner les institutions plutôt que de les bloquer. »
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