Politique
Emmanuel Macron veut « élargir » le socle commun et parler aux socialistes. Un message entendu par le parti à la rose, qui pose ses conditions. Cette hypothèse soulève plus de questions qu’elle n’apporte de réponses.
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Par Public Sénat
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Interrogée par publicsenat.fr, lundi, la sénatrice LR, proche d’Alain Juppé, Fabienne Keller déclarait faire « le tour des popotes » pour voir qui pourrait rejoindre, après les sénatoriales, un éventuel groupe constructif. « L’objectif c’est d’être plutôt autour de 20. Et on peut être plus ambitieux avec les centristes » ajoutait-elle. Le sénateur UDI de l’Eure, Hervé Maurey a mis, ce mardi, un sérieux bémol à cet objectif annoncé.
« On entend beaucoup de choses. Et puis ce qu’on entend n’est ensuite pas forcément réalisé ni même mis en musique. Moi, ce que j’observe, c’est qu’il y a au sein du groupe Union Centriste, une véritable volonté de rester unis (…) avec ses différences, avec ses diversités. C’est ce que je ressens, plutôt que des départs vers un éventuel groupe dit constructif » a répondu le président de la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable de la Haute assemblée.
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