Sénatoriales : « Il ne faut pas s’attendre à des miracles » pour LREM, selon Gérard Collomb

Sénatoriales : « Il ne faut pas s’attendre à des miracles » pour LREM, selon Gérard Collomb

Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, était ce lundi le premier invité de la saison de Territoires d’Infos, sur Public Sénat. Interrogé sur les élections sénatoriales du 24 septembre, l’ancien sénateur-maire de Lyon a fixé un objectif mesuré pour cette élection. « Les élections sénatoriales reposent sur les scrutins d’avant. Or comme la droite a à […]
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, était ce lundi le premier invité de la saison de Territoires d’Infos, sur Public Sénat. Interrogé sur les élections sénatoriales du 24 septembre, l’ancien sénateur-maire de Lyon a fixé un objectif mesuré pour cette élection.

« Les élections sénatoriales reposent sur les scrutins d’avant. Or comme la droite a à peu près tout gagné, ça ne peut pas être une formidable embellie pour La République En Marche. Il faut regarder la réalité, il ne faut pas s’attendre à des miracles » affirme Gérard Collomb. S’il « encourage » les grands électeurs « à voter pour nos candidats », « c’est quand même un peu mathématique », ajoute-t-il. Une estimation « mathématique suffisait à montrer qu’on n’aurait pas autant de sénateurs qu’annoncé » pense Gérard Collomb.

Avant les vacances, le président du groupe LREM du Sénat, François Patriat, estimait qu’il était possible de doubler le nombre de sénateurs de son groupe, soit atteindre une soixantaine d’élus. Un objectif revu à la baisse depuis. LREM espère avoir 45 ou 50 sénateurs le 24 septembre prochain.

Partager cet article

Dans la même thématique

SIPA_00814631_000039
5min

Politique

Congrès LR : le parti adopte ses nouveaux statuts sur fond de division 

Les Républicains ont officiellement tourné la page du mandat d’Éric Ciotti en adoptant de nouveaux statuts. Désignation du candidat à la présidentielle, destitution du président du LR en cas de « grave manquement » à ses devoirs… les Républicains promettent une simplification de leur mode de fonctionnement. Mais à la veille du vote de confiance, la division couve entre les deux anciens rivaux à la présidence du parti, Laurent Wauquiez et Bruno Retailleau. 

Le

SIPA_01228800_000048
6min

Politique

Congrès LR : la droite tente d’éviter la division et prépare l’après Bayrou 

Le vote de confiance demandé par François Bayrou agite la rentrée politique des Républicains réunis à Port-Marly dans les Yvelines. La droite se prépare à négocier les termes de sa participation à un futur gouvernement. Ce scrutin surprise attendu lundi fait également réapparaître des lignes de fractures au sein des Républicains, malgré la large victoire de Bruno Retailleau en mai dernier, élu président du parti face à Laurent Wauquiez.  

Le

Clairefontaine: Celebration of French Training Model’s 50 Years
8min

Politique

A Lyon, avec le soutien Laurent Wauquiez, Jean-Michel Aulas marque-t-il vraiment des points ?

L’ancien président de l’Olympique Lyonnais, quasi-candidat aux municipales à Lyon, reçoit le soutien des LR, avec Laurent Wauquiez. « La candidature Aulas est en train de marquer des points », selon le sénateur LR Etienne Blanc. « Il faudra qu’il muscle un peu son jeu, il n’est pas au niveau », raille le sénateur des Ecologistes, Thomas Dossus.

Le