Politique
Devant 2 500 adhérents réunis en Congrès à Port-Marly dans les Yvelines, le patron de LR, Bruno Retailleau, a fixé le cap de sa famille politique à la veille de la probable chute du gouvernement Bayrou.
Le
Par Public Sénat
Temps de lecture :
1 min
Publié le
Mis à jour le
Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, était ce lundi le premier invité de la saison de Territoires d’Infos, sur Public Sénat. Interrogé sur les élections sénatoriales du 24 septembre, l’ancien sénateur-maire de Lyon a fixé un objectif mesuré pour cette élection.
« Les élections sénatoriales reposent sur les scrutins d’avant. Or comme la droite a à peu près tout gagné, ça ne peut pas être une formidable embellie pour La République En Marche. Il faut regarder la réalité, il ne faut pas s’attendre à des miracles » affirme Gérard Collomb. S’il « encourage » les grands électeurs « à voter pour nos candidats », « c’est quand même un peu mathématique », ajoute-t-il. Une estimation « mathématique suffisait à montrer qu’on n’aurait pas autant de sénateurs qu’annoncé » pense Gérard Collomb.
Avant les vacances, le président du groupe LREM du Sénat, François Patriat, estimait qu’il était possible de doubler le nombre de sénateurs de son groupe, soit atteindre une soixantaine d’élus. Un objectif revu à la baisse depuis. LREM espère avoir 45 ou 50 sénateurs le 24 septembre prochain.
La France face aux inondations