Par Public Sénat
Temps de lecture :
1 min
Publié le
Mis à jour le
Alors que La République en marche revoit ses ambitions à la baisse pour les sénatoriales du 24 septembre prochain et fait face à un mécontentement croissant, notamment de la part des élus locaux, la sénatrice socialiste de Paris, Marie-Noëlle Lienemann pense que le Parti socialiste bénéficiera de cette insatisfaction mais qu’il doit surtout agir :
« : Le PS doit tenir un discours de clarté et … doit montrer à quel point les choix qui sont faits, ils les contestent et les condamnent ».
« Baisse des dotations, suppressions des contrats aidés, l’APL… » autant de mesures, qui pour la sénatrice, montrent que le gouvernement conduit une politique « classiquement libérale et de droite ». « Les masques tombent. La politique d’Emmanuel Macron commence à être plus lisible pour nos concitoyens et notamment les élus locaux » estime-t-elle.
Politique
Une rencontre pour rien, ou pour la forme. « On était venus par courtoisie républicaine », a expliqué le numéro 1 PS, Olivier Faure, reçu avec les présidents des groupes socialistes par François Bayrou. Le PS entend toujours voter contre la confiance. S’il ne « conteste pas » le diagnostic, « il y avait deux projets qui se confrontaient ».
Le
Politique
Emmanuel Macron veut « élargir » le socle commun et parler aux socialistes. Un message entendu par le parti à la rose, qui pose ses conditions. Cette hypothèse soulève plus de questions qu’elle n’apporte de réponses.
Le
Politique
En signant deux décrets rendant plus stricts les conditions d’accès à l’aide médicale d’Etat pour les étrangers, François Bayrou tente d’obtenir les bonnes grâces des LR et surtout du RN. Le sujet est défendu depuis plusieurs années par la majorité sénatoriale. « Ce qui est dommage, c’est que toutes les avancées de ces derniers jours auraient pu être des concessions du débat budgétaire », regrette le sénateur LR Roger Karoutchi. A gauche, Bernard Jomier dénonce « une posture politique » qui n’a « pas de sens ».
Le
Politique
Ce mercredi 3 septembre 2025, Emmanuel Macron, François Bayrou et les 35 ministres du gouvernement étaient sans doute réunis pour la dernière fois dans cette configuration en Conseil des ministres, à l’Elysée. Une perspective rapidement évacuée par la porte-parole du gouvernement lors du compte rendu devant la presse. Sophie Primas a rapporté les mots du Président de la République appelant à la mobilisation autour de François Bayrou.
Le
Best of - TBR accès aux femmes carrières scientifiques