Session extraordinaire: 1,75 million d’euros, « prix de la démocratie », selon Bergé
Aurore Bergé, porte-parole des députés LREM à l'Assemblée, a estimé mercredi que les 1,75 million d'euros que selon le Figaro, a...

Session extraordinaire: 1,75 million d’euros, « prix de la démocratie », selon Bergé

Aurore Bergé, porte-parole des députés LREM à l'Assemblée, a estimé mercredi que les 1,75 million d'euros que selon le Figaro, a...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Aurore Bergé, porte-parole des députés LREM à l'Assemblée, a estimé mercredi que les 1,75 million d'euros que selon le Figaro, a coûté la session extraordinaire, était "le prix d'une démocratie qui fonctionne".

"C'est le coût d'une démocratie qui fonctionne, qui permet aux parlementaires de travailler beaucoup, pour qu'on avance vite", a déclaré Aurore Bergé sur RMC.

Le Figaro affirme mercredi que la dernière session extraordinaire de l'Assemblée nationale démarrée le 4 juillet, qui "a connu 9 séances de nuit pour un total de 35 heures passées dans l'Hémicyle", a coûté 1,75 million d'euros.

"On attend qu'on soit au travail et qu'on produise des résultats rapidement", a poursuivi la députée en donnant pour exemples les questions de terrorisme, de code du travail ou de moralisation de la vie politique.

"Les parlementaires n'ont pas mis cet argent dans leurs poches, nous n'avons pas été payés plus", a-t-elle ajouté.

Selon Mme Bergé, "l'effort budgétaire, tout le monde le fait", par exemple "la suppression de la réserve parlementaire, c'est un effort budgétaire".

Partager cet article

Dans la même thématique

5min

Politique

Conférence Travail et Retraites : « Si on veut avancer sur les retraites, il faut passer par la case travail »

Alors que la bataille à laquelle se livrent l’exécutif et les députés sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale bat son plein à l’Assemblée nationale, les partenaires sociaux se réunissent ce matin pour la première plénière de la conférence sur les retraites. Souhaitée par Sébastien Lecornu, le ministre du Travail et des Solidarités Jean-Pierre Farandou y voit une « démarche moderne et inédite », souhaitant replacer le travail au cœur des débats.

Le