Par Public Sénat
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Avant le renouvellement, on comptait 229 hommes pour 119 femmes. Depuis hier soir, il y a 116 sénatrices contre 232 sénateurs.
Avec 29% les salariés représentent la catégorie socio-professionnelle la plus importante chez les sénateurs (18% avant le renouvellement). Viennent ensuite, les professions judiciaires et libérales (16%), les fonctionnaires (13%), l’enseignement (13%), sans profession déclarée (10%), le commerce et l’industrie (7%), les professions agricoles (5%), les professions médicales (4%) contre 8% avant le renouvellement, autres secteurs (3%)
Avec une moyenne d’âge de 60 ans et deux mois, le nouveau Sénat est plus jeune. Avant le renouvellement, la moyenne d’âge était de 63 ans et 7 mois. On compte un seul sénateur de moins de 29 ans, 11 ont entre 30 et 39 ans.
Avant le renouvellement, c’était Christine Lavarde, sénatrice LR âgée de 35 ans qui était la benjamine du Sénat. Le titre de sénateur le plus jeune sénateur revient désormais à Rémi Cardon élu dans la Somme à 26 ans et 5 mois. Il est même le plus jeune sénateur de l’histoire de la Ve République. Il bat le record de l’ancien sénateur FN, David Rachline élu en 2014 à l’âge de 26 ans et 10 mois.
Le doyen d’âge du Sénat, reste le sénateur centriste du Pas-de-Calais, Jean-Marie Vanlerenberghe (81 ans), qui n’était pas concerné par le renouvellement.
Sur les 172 sièges renouvelables, 94 sont sortants, et 78 dont leur entrée à la Haute assemblée.
Valérie Boyer, députée LR devient sénatrice des Bouches-du-Rhône. Député UDI depuis 2002, Stéphane Demilly a été élu dans la Somme. Somme. Dans le Tarn, le député LREM, Philippe Folliot succède au sortant PS, Thierry Carcenac qui ne se représentait pas.
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Jean-Claude Ducarois, 81 ans, retraité à Pont-de-Buislès, livre ses préoccupations. Dans sa commune du Finistère, le dernier commerce alimentaire, une petite supérette, a fermé ses portes quelques semaines seulement après la station-service. Comment inverser la tendance, et que peuvent les élus ? Quentin Calmet pose la question aux sénateurs invités de l’émission Dialogue citoyen.
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Le chef de l’Etat a annoncé que les téléphones portables allaient « sans doute » être interdits dès la rentrée prochaine dans les lycées. C’est « faisable », soutient le sénateur Renaissance Martin Lévrier. « Il est incorrigible. C’est une annonce par jour pour exister », raille le sénateur LR Max Brisson, opposé à l’interdiction au lycée. « Une annonce un peu surréaliste » qui élude les vrais problèmes, dénonce la sénatrice PS Colombe Brossel.
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Suite aux récentes révélations mettant en cause les forces de l’ordre dans des affaires de violences au sein des personnes dépositaires de l’autorité publique, la gauche du Sénat demande à la commission des lois de se doter des prérogatives d’une commission d’enquête visant à examiner les conditions dans lesquelles l’IGPN et l’IGGN exercent leurs prérogatives.
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Budget de la Sécu : la règle de l’entonnoir peut-elle faciliter un compromis ?
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