Soirée de Macron à la Rotonde : «  un moment en toute simplicité » selon Lemoyne
Invité de l’émission spéciale consacrée à l’analyse des résultats du premier tour de l’élection présidentielle, le sénateur apparenté LR et soutien d’Emmanuel Macron Jean-Baptiste Lemoyne a réagi à la polémique qui entoure la soirée passée par Emmanuel Macron et ses proches à La Rotonde.

Soirée de Macron à la Rotonde : « un moment en toute simplicité » selon Lemoyne

Invité de l’émission spéciale consacrée à l’analyse des résultats du premier tour de l’élection présidentielle, le sénateur apparenté LR et soutien d’Emmanuel Macron Jean-Baptiste Lemoyne a réagi à la polémique qui entoure la soirée passée par Emmanuel Macron et ses proches à La Rotonde.
Public Sénat

Par Alice Bardo

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

« Il a mis tout le monde à la même table : l’officier de sécurité était à coté de Line Renaud », tient à préciser Jean-Baptiste Lemoyne. Pour fêter sa victoire au premier tour de l’élection présidentielle avec 23.7% des suffrages, Emmanuel Macron avait réuni hier soir son entourage à La Rotonde, une brasserie située dans le 6e arrondissement de Paris. Une soirée qui a rappelé à certains le fameux épisode du Fouquet’s de Nicolas Sarkozy, le soir de sa victoire en 2007.

Dans l’espoir de mettre fin à cette polémique, le sénateur LR martèle qu’il y avait « les petites mains comme les amis d’Emmanuel Macron » et qu’il est possible d’avoir « un plat pour 23 euros ».

« Après avoir passé des jours et des nuits à coller, à tracter, à boiter et à rédiger, nous avions envie d’entourer notre candidat pour un moment en tout simplicité », conclut t-il. L’économiste Jacques Attali, l’animateur Stéphane Bern, l’écrivain Erik Orsena ou encore l’ex député-européen Daniel Cohn-Bendit étaient présents.

Emmanuel Macron et Jacques Attali fêtent les résultats du 1er tour au resturant La Rotonde à Paris, le 23 avril 2017
Emmanuel Macron et Jacques Attali fêtent les résultats du 1er tour au resturant La Rotonde à Paris, le 23 avril 2017
AFP

Partager cet article

Dans la même thématique

Soirée de Macron à la Rotonde : «  un moment en toute simplicité » selon Lemoyne
3min

Politique

Airbnb permet « payer les études de mes enfants », se défend cette propriétaire de Cagnes-sur-Mer

La France fait la part belle à Airbnb. La plateforme d’hébergement est désormais présente dans 80% des communes de l’hexagone. Une inflation des locations de courte durée qui a un impact direct sur la crise du logement. Dans certaines villes, le marché est saturé et le prix des loyers n’a jamais été aussi élevé. Mais pour certains propriétaires qui mettent leur bien en location, c’est aussi un revenu d’appoint utile pour entretenir leur patrimoine comme en témoigne Elodie Fakhfakh, face à trois sénatrices dans l’émission Dialogue Citoyen, présentée par Quentin Calmet.

Le

Documentaire Churchill chef de guerre de Peter Bardelhe
3min

Politique

Et si Winston Churchill était le grand perdant de la victoire des alliés en 1945 ?

L’Histoire a retenu de Winston Churchill un héros triomphant au balcon de Buckingham Palace après la capitulation des nazis. Mais proclamer le signe de la victoire avec la main ne suffit pas, encore faut-il en récupérer les bénéfices. A l’issue de la Seconde Guerre mondiale, la Grande-Bretagne a vu son influence dégringoler. Malgré les efforts du Vieux lion, les deux superpuissances, américaine et soviétique, ont imposé un agenda politique au détriment des intérêts britanniques. Le réalisateur Peter Bardelhe a fait le pari d’expliquer cette partie de poker diplomatique entre les vainqueurs de 1945 dans un documentaire Churchill, chef de guerre diffusé sur Public Sénat.

Le

Paris: Gerard Larcher elu President du Senat
3min

Politique

Échec de la CMP sur le budget : Gérard Larcher dénonce le « manque de considération » de Sébastien Lecornu à l’égard du Sénat

Le gouvernement et la majorité sénatoriale se renvoient la responsabilité de l’échec de la commission mixte paritaire (CMP) sur le projet de loi de finances 2026. Gérard Larcher répond à Sébastien Lecornu en défendant la position du Sénat pendant l’examen du budget et en dénonçant « le manque de considération » et « les mots excessifs » du Premier ministre.

Le