Sondage: Macron et Le Pen bien installés en tête, devant Fillon
Emmanuel Macron et Marine Le Pen, crédités de 26,5% et 26%, sont bien installés en tête au premier tour de la présidentielle,...

Sondage: Macron et Le Pen bien installés en tête, devant Fillon

Emmanuel Macron et Marine Le Pen, crédités de 26,5% et 26%, sont bien installés en tête au premier tour de la présidentielle,...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Emmanuel Macron et Marine Le Pen, crédités de 26,5% et 26%, sont bien installés en tête au premier tour de la présidentielle, selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting dimanche, dans lequel François Fillon est décroché, à 19%.

Le fondateur d'En Marche! obtiendrait 26,5% (-0,5 en deux semaines), juste devant la présidente du Front national (26%, +0,5), selon ce sondage réalisé pour "13.15 Le dimanche", sur France 2.

François Fillon, dont la campagne est parasitée par les affaires depuis près de deux mois, reste nettement décroché, même s'il est stable sur deux semaines, à 19%.

Benoît Hamon, le candidat du PS qui tient dimanche un meeting important à Bercy, est lui en baisse d'1,5 point, avec 12,5% d'intentions de vote. Jean-Luc Mélenchon, candidat de La France insoumise, augmente lui de 0,5 point, à 10,5%.

Derrière ce quintet de tête, Nicolas Dupont-Aignan (DLF) atteindrait 3%. Les candidats trotskistes Philippe Poutou (NPA) et Nathalie Arthaud (LO) sont crédités chacun d'1% des voix. Le souverainiste François Asselineau est donné à 0,5%, Jacques Cheminade et le centriste Jean Lassalle sont eux à 0%.

20% des sondés n'expriment pas d'intention de vote.

Sondage réalisé sur internet les 15 et 16 mars auprès d'un échantillon représentatif de 1.006 personnes (méthode des quotas).

Les intentions de vote ne constituent pas une prévision du résultat du scrutin. Elles donnent une indication de l'état des rapports de force et des dynamiques au jour de la réalisation du sondage.

Partager cet article

Dans la même thématique

13-UNIS : la course en hommage aux 10 ans des attentats de novembre 2015
5min

Politique

Commémoration du 13 novembre : 10 ans après les attentats, la menace terroriste « s’accroît »

Alors que la France rend hommage aux victimes des attentats de Paris de 2015, le ministre de l’Intérieur a appelé les préfets à « renforcer les mesures de vigilance ». Le procureur national antiterroriste (Pnat) Olivier Christen, indique même que la menace terroriste, jihadiste, d’ultradroite ou émanant d’Etats étrangers « s’accroît ».

Le

France Paris Shooting
4min

Politique

Attentats du 13 novembre 2015 : dix ans après, comment les lois antiterroristes ont évolué ?

Dix ans après le traumatisme des attentats du 13 novembre 2015, le cadre juridique permettant la prévention et la répression d’actes terroristes a largement évolué. Après les attaques du Bataclan, des terrasses parisiennes et du Stade de France ayant fait 131 morts et plus de 400 blessés, la France avait basculé dans l’état d’urgence, un régime juridique d’exception qui a influencé les évolutions législatives.

Le

Sondage: Macron et Le Pen bien installés en tête, devant Fillon
4min

Politique

Immigration : Laurent Nunez a « bon espoir que le plan 3 000 places de centres de rétention administrative aboutisse en 2029 »

A l’approche de l’examen du budget, le ministre de l’Intérieur, Laurent Nunez était auditionné par commission des lois du Sénat a présenté des crédits en hausse pour la mission sécurité et immigration de son ministère. Il en a profité pour confirmer que l’objectif 3 000 places en des centres de rétention administrative, initialement prévu pour 2027, ne sera pas tenu, comme l’avait révélé un rapport du Sénat.

Le

5min

Politique

Budget : des sénateurs souhaitent assouplir le droit des successions pour favoriser les dons aux associations

Les sénateurs Bernard Jomier et Grégory Blanc (Place Publique) ont déposé un amendement au projet de loi de finances 2026, visant à élargir la liberté des légataires dans la transmission de leur patrimoine, pour favoriser les donations aux causes d’intérêt général. De quoi permettre un débat « le plus large possible » selon les élus, dans une séquence budgétaire intense.

Le