Sondage: Macron-Le Pen en tête, Fillon-Mélenchon au coude-à-coude
Emmanuel Macron et Marine Le Pen restent en tête des intentions de vote au premier tour de l'élection présidentielle, loin devant...

Sondage: Macron-Le Pen en tête, Fillon-Mélenchon au coude-à-coude

Emmanuel Macron et Marine Le Pen restent en tête des intentions de vote au premier tour de l'élection présidentielle, loin devant...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Emmanuel Macron et Marine Le Pen restent en tête des intentions de vote au premier tour de l'élection présidentielle, loin devant Jean-Luc Mélenchon et François Fillon qui se disputent la 3e place, selon un sondage Ipsos Sopra Steria diffusé mardi.

Avec 24% d'intentions de vote chacun, le candidat d'En Marche! (=) et celle du Front national (-1) conservent 5,5 à 6 points d'avance sur leurs poursuivants à moins de deux semaines du vote.

Avec un bond de 4,5 points en deux semaines et 18,5% d'intentions de vote, Jean-Luc Mélenchon confirme sa percée et devance légèrement le candidat de la droite crédité de 18% (=), selon cette enquête pour France télévisions et Radio France. Le candidat de La France insoumise ponctionne l'électorat du socialiste Benoît Hamon, qui ne recueille plus que 8% (-4).

Le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan est crédité de 3,5% (=), le trotskiste Philippe Poutou de 1,5% (+0,5) et les autres candidats de 1% ou moins. 10% des personnes certaines d'aller voter n'ont pas exprimé d'intentions de vote.

L'indice de participation est évalué à 66% (+1) du corps électoral et 60% (+1) des personnes certaines de voter considèrent leur choix définitif, contre 40% qui peuvent encore changer d'avis.

Marine Le Pen (-3) et François Fillon (-5) ont le socle le plus solide, avec 79% de leurs électeurs potentiels qui se disent sûrs de leur choix, devant Jean-Luc Mélenchon (60%, =), Emmanuel Macron (55%, +2) et Benoît Hamon (43%, -5).

Au second tour, Emmanuel Macron l'emporterait avec 62% des voix contre 38% à Marine Le Pen (sans changement). 24% des personnes certaines d'aller voter n'ont pas exprimé d'intentions de vote.

Enquête réalisée en ligne du 7 au 9 avril auprès de 1.604 personnes inscrites sur les listes électorales, selon la méthode des quotas. Marge d'erreur de 0,8 à 3,1 points.

Les intentions de vote ne constituent pas une prévision de résultat, elles donnent une indication des rapports de force et des dynamiques au jour de la réalisation du sondage.

Dans la même thématique

Sondage: Macron-Le Pen en tête, Fillon-Mélenchon au coude-à-coude
3min

Politique

« Les politiques parlent des migrants comme si c’étaient tous des sauvages » s’insurge Louis Chedid

C’est un nom, une voix, des textes et des mélodies qui nous accompagnent depuis 50 ans. S’il chante l’amour, l’absence, et la mélancolie, parfois aux côtés de ses enfants, il reste d’abord un homme engagé contre les discours de haine. Auteur d' « Anne, ma sœur, Anne », ce descendant d’immigrés chrétiens libanais, réfugiés en Egypte, refuse que les populations immigrées soient caricaturées et instrumentalisées. Cette semaine, Louis Chedid est l’invité de Rebecca Fitoussi dans Un monde, un regard.

Le

Sondage: Macron-Le Pen en tête, Fillon-Mélenchon au coude-à-coude
3min

Politique

Un an après la dissolution : « Les Français ont le sentiment que la France fait la planche » selon le politologue Brice Teinturier

Un an après la dissolution voulue par Emmanuel Macron, le paysage politique français semble avoir évolué vers un blocage institutionnel. A l’Assemblée, l’absence de majorité empêche les textes d’être votés. Pire, des motions permettent d’enjamber l’examen à l’Assemblée pour que le débat soit tranché en commission mixte paritaire. Comment la dissolution a-t-elle modifié le fonctionnement des institutions ? C’est la question à laquelle répondent les invités de Rebecca Fitoussi et Jean-Pierre Gratien dans cette émission spéciale sur la dissolution, un an après.

Le

Sondage: Macron-Le Pen en tête, Fillon-Mélenchon au coude-à-coude
4min

Politique

Un an après la dissolution, Gérard Larcher estime que « c'est la présidentielle qui redonnera le nouveau souffle dont nous avons besoin »

Invité de Public Sénat ce vendredi 6 juin, le président du Sénat est longuement revenu sur la situation du pays. À ses yeux, seule la prochaine présidentielle permettra de mettre fin au blocage politique lié à la dissolution. Evoquant également l’urgence budgétaire, il estime que « l’année blanche est une piste sérieuse ».

Le