Emmanuel Macron gagne deux points dans le dernier sondage BVA-Salesforce diffusé samedi, avec 26% des intentions de vote, ce qui lui permettrait d'arriver en tête du premier tour de l'élection présidentielle, à égalité avec Marine Le Pen, stable.
François Fillon, qui résiste en progressant d'un point à 20%, reste distancé et serait exclu du second tour, selon ce sondage réalisé pour la presse régionale et Orange.
Le candidat du mouvement En Marche! avait déjà progressé de trois points lors de la précédente enquête, publiée le 4 mars.
A la quatrième place, le socialiste Benoît Hamon perd 2 points à 13,5%, devant le candidat de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon à 11,5% (inchangé).
Le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan obtient 2% d'intentions de vote (-0,5), Philippe Poutou (-0,5) et Nathalie Arthaud (inchangé) sont à 0,5%.
La participation serait de 74% si le premier tour avait lieu dimanche prochain, en hausse de 2 points par rapport au 4 mars.
La candidate FN à la présidentielle Marine Le Pen, le 9 mars 2017 à Mirande dans le Gers
AFP
Parmi les personnes certaines d'aller voter, la proportion de ceux qui déclarent que leur choix est définitif est de 83% pour les électeurs de Marine Le Pen, de 76% pour ceux de François Fillon, de 56% pour ceux d'Emmanuel Macron et de Jean-Luc Mélenchon, et de 51% pour ceux de Benoît Hamon.
Au second tour, Emmanuel Macron serait élu avec 61% des voix (-1 point) contre 38% à Marine Le Pen (+1).
Enquête réalisée par internet du 8 au 10 mars auprès d'un échantillon de 1.419 personnes inscrites sur les listes électorales, issues d'un échantillon représentatif de 1.501 Français âgés de 18 ans et plus (méthode des quotas). Marge d'erreur de 1,4 point à 3,3 points pour 900 personnes.
Les intentions de vote ne constituent pas une prévision de résultat, elles donnent une indication de l'état des rapports de forces et des dynamiques au jour de la réalisation du sondage.
Alors qu’aucune piste d’atterrissage ne semble se dessiner, à ce stade, au Parlement pour l’adoption du budget, le gouvernement a choisi d’avoir recours à une loi spéciale, plutôt qu'à des ordonnances, si le blocage se poursuit.
En clôture du Congrès de l’Association des maires de France (AMF), le Premier ministre a fait part de sa volonté de simplifier les normes qui pèse sur les élus locaux. Il a confirmé son engagement en faveur d’un grand acte de décentralisation avec le dépôt d’un projet de loi avant Noël mais sans s’engager sur une baisse de l’effort demandé aux collectivités dans le budget, au grand dam des élus.
Après le discours de clôture du 107e congrès des maires de Sébastien Lecornu, le premier vice-président de l’Association des maires de partage son « profond regret » et sa « profonde déception », face aux annonces du Premier ministre.
A la demande du groupe socialiste, un débat se tiendra à l’Assemblée nationale sur « la lutte contre le narcotrafic », a déclaré Sébastien Lecornu, dans son discours de clôture du 107e congrès de l’AMF.
Le
Le direct
106e Congrès des maires : "le congrès de la colère" ?
106e Congrès des maires : "le congrès de la colère" ?