Sondage: pour 50% des Français il est top tôt pour juger Macron
Si 50% des Français jugent qu'il est encore trop tôt pour juger l'action d'Emmanuel Macron six mois après son élection, ils sont...

Sondage: pour 50% des Français il est top tôt pour juger Macron

Si 50% des Français jugent qu'il est encore trop tôt pour juger l'action d'Emmanuel Macron six mois après son élection, ils sont...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Si 50% des Français jugent qu'il est encore trop tôt pour juger l'action d'Emmanuel Macron six mois après son élection, ils sont 37% à la juger décevante alors que 12% s'en déclarent satisfaits, selon un sondage Elabe pour BFM TV publié lundi.

Parmi les réformes jugées marquantes du président Macron, 37% des Français citent la hausse de la CSG (contribution sociale généralisée), suivie de la réforme du Code du travail (35%) puis de la suppression de la taxe d'habitation pour 80% des ménages (34%), selon le sondage.

Viennent ensuite la baisse de cinq euros des APL (Aides personnalisées au logement) (29%) et le remplacement de l’ISF (impôt de solidarité sur la fortune) par l’IFI (simple impôt sur la fortune immobilière) (27%).

A propos de trois promesses de la campagne électorale d’Emmanuel Macron, 53% des Français estiment qu’il "fait de la politique autrement" (contre 46% qui ne le pensent pas), 49% qu’il "dépasse les clivages politiques" (contre 50%) et 43% qu’il "transforme le pays" (contre 56%).

Interrogés sur les déclarations et les décisions les plus marquantes du chef de l'Etat, les sondés sont 40% à mettre en tête sa petite phrase selon laquelle il ne cèdera pas "aux fainéants" sur la réforme du Code du travail, puis la démission du Chef d’Etat-Major des Armées le général Pierre de Villiers (29%) enfin la phrase "foutre le bordel" à propos de l'action de manifestants lors d’une visite en Corrèze (24%).

Sondage réalisé sur un échantillon de 1.002 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus interrogées par Internet les 3 et 4 novembre 2017, selon la méthode des quotas.

Dans la même thématique

Sondage: pour 50% des Français il est top tôt pour juger Macron
3min

Politique

Un an après la dissolution : « Les Français ont le sentiment que la France fait la planche » selon le politologue Brice Teinturier

Un an après la dissolution voulue par Emmanuel Macron, le paysage politique français semble avoir évolué vers un blocage institutionnel. A l’Assemblée, l’absence de majorité empêche les textes d’être votés. Pire, des motions permettent d’enjamber l’examen à l’Assemblée pour que le débat soit tranché en commission mixte paritaire. Comment la dissolution a-t-elle modifié le fonctionnement des institutions ? C’est la question à laquelle répondent les invités de Rebecca Fitoussi et Jean-Pierre Gratien dans cette émission spéciale sur la dissolution, un an après.

Le

Sondage: pour 50% des Français il est top tôt pour juger Macron
4min

Politique

Un an après la dissolution, Gérard Larcher estime que « c'est la présidentielle qui redonnera le nouveau souffle dont nous avons besoin »

Invité de Public Sénat ce vendredi 6 juin, le président du Sénat est longuement revenu sur la situation du pays. À ses yeux, seule la prochaine présidentielle permettra de mettre fin au blocage politique lié à la dissolution. Evoquant également l’urgence budgétaire, il estime que « l’année blanche est une piste sérieuse ».

Le

SIPA_01204192_000001
6min

Politique

Olivier Faure à la tête du PS : « Ce que va montrer le congrès de Nancy, c’est la faiblesse du parti »

Après sa réélection de justesse à la tête du PS, le plus dur commence pour Olivier Faure. Le premier secrétaire va avoir la lourde tâche d’unir un parti divisé, de conserver ses principaux bastions socialistes aux prochaines municipales ou encore de fixer une stratégie pour une candidature crédible à la prochaine présidentielle. Analyse du politiste Pierre-Nicolas Baudot et de l’historien, Alain Bergougnioux.

Le