Pas encore officiellement lancée, la candidature de Gabriel Attal pour prendre la tête de Renaissance ne fait plus beaucoup de doute en interne. Une bataille d’ex-premiers ministres, face à Elisabeth Borne, déjà candidate, va s’engager, au risque de tomber dans la guerre des chefs. Mais certains, à commencer par Emmanuel Macron, prônent un accord pour avoir un seul candidat.
Sur l’autisme, « il fallait y répondre ! » affirme le candidat Cédric Villani
Par Louis-Marie Le Béon
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Postée sur les réseaux sociaux, la vidéo réalisée par Quotidien, a atteint le million de vues en quelques heures. Et bien que la réponse du candidat aux municipales ait été très largement saluée, tant par les internautes que par ses rivaux politiques, de nombreuses critiques furent adressées avec véhémence aux équipes de Quotidien, auxquelles il était reproché une indécence dans la question.
Invité par Hélène Risser à revenir sur cet épisode marquant de sa campagne en ligne, c’est en plus grand détail que Cédric Villani explique le contexte de l’entretien et sa compréhension de la question posée par le journaliste Paul Larrouturou.
Ce n’est pas le journaliste qu’il faut critiquer. [Il] était dans son rôle en posant cette question, que plein de monde posait ou n’osait pas poser directement.
Questionné par Hélène Risser sur l'instigateur de la question, Villani poursuit :
Ce n’est pas moi qui ai demandé de poser la question, la question traînait, [elle] était dans l’air ; plusieurs fois elle a été posée à ma mère par des journalistes et il était important qu’il y ait une réponse.
Fort de son originalité, qu’il revendique, le candidat Cédric Villani, aussi hors-norme qu’hors-parti, compte s’appuyer sur « toute la richesse que peut apporter la différence » pour structurer son action politique à Paris.
"Villani : l'équation dissidente" - Hashtag, présenté par Hélène Risser