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Par Public Sénat
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Une décision éventuelle sur des frappes de représailles contre la Syrie "n'a pas vocation à être publique", pour des raisons de sécurité, a indiqué vendredi Christophe Castaner.
"Si des frappes sont décidées, je ne vous le dirai pas. Et le président de la République ne vous le dira pas", a déclaré le secrétaire d’État en charge des Relations avec le Parlement et patron de La République en marche sur BFMTV et RMC.
"Ça n'a pas vocation à être public, parce que ce serait mettre en risque la qualité de l'opération et les femmes et les hommes qui devraient intervenir", a-t-il expliqué, soulignant qu'"il y a des discussions internationales", "parce qu'il faut des frappes coordonnées s'il doit y avoir des frappes".
"Si les conditions sont réunies pour qu'il y ait des frappes, elles auront lieu, on informera l'Assemblée nationale et le Sénat le moment venu, mais il est important que cela relève aussi du secret, parce que c'est la protection des intérêts de la France qui est en jeu et c'est aussi la protection des civils", a-t-il développé.
M. Castaner a répondu par l'affirmative à la question de savoir si on le saurait a posteriori, une fois qu'une opération éventuelle aurait commencé.
Emmanuel Macron a déclaré jeudi que la France a "la preuve" que le régime syrien a utilisé des armes chimiques le 7 avril près de Damas, et prendra ses décisions en "temps voulu", en coordination avec les États-Unis, sur d'éventuelles frappes en représailles.
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