Politique
Le bureau politique de LR s’est accordé sur une suspension des ministres issus de leurs rangs ayant bravé les consignes du parti. Une décision largement validée par le bureau politique, malgré les dissensions internes au parti.
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Par Public Sénat
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Un homme de 21 ans, proche de l'ultra-droite, qui menaçait sur les réseaux sociaux de s'en prendre à des "migrants" et des "jihadistes" a été mis en examen et écroué, a-t-on appris lundi de source judiciaire.
Interpellé le 27 juin dans les Bouches-du-Rhône, il a été mis en examen samedi pour le délit d'association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et placé en détention provisoire, a ajouté cette source, confirmant une information de France info.
Il avait exprimé sur internet sa volonté de passer à l'action contre les "blacks", "racailles", "jihadistes" et "migrants", a précisé une source proche de l'enquête.
Dans une enquête distincte, un homme de 23 ans a été mis en examen samedi et écroué après avoir tenté d'acquérir une arme à feu sur un site de jeux vidéo. En garde à vue, il a déclaré avoir envisagé de tuer Emmanuel Macron lors du défilé du 14 juillet sur les Champs-Élysées et vouloir s'en prendre à des "musulmans, juifs, noirs, homosexuels", d'après la source proche de l'enquête.
Les deux suspects sont proches de l'idéologie d'extrême droite: tous deux ont vanté les actes du néo-nazi Anders Behring Breivik, qui avait tué 77 personnes en Norvège, dont 69 sur l'île d'Utoya, le 22 juillet 2011.
Les deux enquêtes ont été confiées à la Sous-direction antiterroriste (Sdat).
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