Vidéo. Le premier Conseil des ministres du gouvernement Barnier réuni autour d’Emmanuel Macron
A 15 heures ce 23 septembre, Emmanuel Macron a réuni à l’Elysée le premier Conseil des ministres du gouvernement Barnier. Une réunion très courte, qui n’aura duré à peine une trentaine de minutes, sans compte-rendu à l’issue.
Deux jours après la nomination de son gouvernement, Michel Barnier et ses 39 ministres se sont rendus à l’Elysée pour un Conseil des ministres qui se tenait exceptionnellement un lundi.
Le président Emmanuel Macron avait à sa gauche Bruno Retailleau le ministre de l’Intérieur et à sa droite, Didier Migaud, le garde des Sceaux. Le conseil des ministres n’aura duré qu’une demi-heure.
Ce matin avant les traditionnelles passations de pouvoir, l’équipe gouvernementale avait été conviée à Matignon pour un petit déjeuner afin de « mieux se connaître ».
Michel Barnier a demandé à ses ministres « d’être irréprochables » et de pas faire « d’esbroufe ». « Dans cette période critique », le Premier ministre les a exhortés à « agir plus que communiquer ».
« Nous avons besoin d’un nouveau style », a fait savoir Michel Barnier, exigeant que cette nouvelle méthode, soit « faite de respect et de dialogue avec le Parlement, les oppositions, les acteurs locaux, les élus et les administrations ».
Un an après, quel est l’héritage des Jeux olympiques et paralympiques ? Inclusion, transports, infrastructures, sponsors… pour Sofyane Mehiaoui, joueur de basket fauteuil qui a représenté la France, si l’accès à la nouvelle Adidas Arena porte de Clignancourt à Paris est un vrai bénéfice, le départ de ses sponsors révèle le manque d’engagement durable des marques auprès de parasportifs. Il témoigne dans l'émission Dialogue Citoyen, présenté par Quentin Calmet.
La ministre des Comptes publics propose de supprimer un tiers des agences de l'État pour faire deux à trois milliards d’économies. Seulement, pour en rayer de la liste, encore faudrait-il savoir combien il en existe…Une commission d'enquête sur les missions des agences de l’État s’est plongée dans cette grande nébuleuse administrative. ARS, France Travail, OFB, CNRS, ADEME, ANCT, des agences, il y en a pour tous et partout ! Mais “faire du ménage” dans ce paysage bureaucratique touffu rapportera-t-il vraiment les milliards annoncés par le gouvernement et tant espérés par la droite ? Immersion dans les coulisses de nos politiques publiques…
Le chef de l’Etat reçoit lundi plusieurs ministres pour parler du budget. « Il est normal qu’il y ait un échange eu égard à l’effort de réarmement qui est nécessaire », explique l’entourage d’Emmanuel Macron. « Il laisse le gouvernement décider », souligne le macroniste François Patriat, mais le Président rappelle aussi « les principes » auxquels il tient.
Après la publication d’une tribune sur le financement des énergies renouvelables, le parti de Bruno Retailleau s’est retrouvé sous le feu des critiques. Pourtant, en produisant un discours sur l’opposition aux normes écologiques, LR semble revitaliser le clivage entre la gauche et la droite.
Quatre ministres sur dix sont issus de la droite dans le gouvernement de Michel Barnier, annoncé ce 21 septembre. Les sénateurs font aussi une entrée historique dans un gouvernement, ils sont neuf à nommés.
Après l’annonce du gouvernement samedi 21 septembre, la « feuille de route » de l’exécutif reste incertaine. Invité de la matinale de Public Sénat, Frédéric Valletoux, député Horizons, détaille les priorités de son groupe mais aussi les potentiels obstacles à un soutien au gouvernement de Michel Barnier.