Ce mardi 23 mars, 3 candidats à la présidence de Public Sénat étaient auditionnés par la commission de sélection, composée de sénateurs et de sénatrices.
Vidéos. Les auditions des trois candidats à la présidence de Public Sénat en 2021
Ce mardi 23 mars, 3 candidats à la présidence de Public Sénat étaient auditionnés par la commission de sélection, composée de sénateurs et de sénatrices.
Christopher Baldelli, Damien Fleurot, Emmanuel Kessler, avaient chacun 40 minutes pour présenter leur projet pour la chaîne. À l’issue des auditions, la commission s’est réunie à huis clos pour délibérer. Les trois candidatures sont retenues. Les candidats seront entendus une nouvelle fois, cette fois par le Bureau du Sénat, le 15 avril. Sur la proposition du Président du Sénat, il appartiendra au Bureau de nommer le nouveau président-directeur général de Public Sénat, pour une prise de fonction le 1er juin 2021.
L’audition d’Emmanuel Kessler
L’audition de Damien Fleurot
L’audition de Christopher Baldelli
Élection du PDG de Public Sénat : audition de Christopher Baldelli
Les sénateurs ont suivi leur commission des affaires sociales et le gouvernement, en autorisant un transfert de dette de l’Agence centrale de la Sécurité sociale vers la Caisse d’amortissement (Cades), afin d’assurer le financement de la première.
A l’heure où les commerces de centre-ville ferment les uns après les autres, la consommation sur internet n’a jamais été aussi forte. Difficile de rivaliser lorsque certaines plateformes inondent le marché de promotions et livrent les commandes en moins de 24h. Pour Thomas Martinet, étudiant en droit à Montpellier, acheter en ligne n’est pas contradictoire avec une consommation responsable. Dans l’émission Dialogue Citoyen présentée par Quentin Calmet, il interpelle plusieurs sénateurs sur la nécessité pour les petits commerçants de s’adapter à l’ère du numérique.
Le calendrier s’annonce plus que serré pour parvenir à un vote sur le budget d’ici la fin de l’année. Au Sénat, on se prépare à différentes hypothèses : 49.3, ordonnances, loi spéciale. On fait le point ici.
La parité s’impose désormais dans les communes de moins de 1 000 habitants. À partir des élections municipales de 2026, les listes devront respecter une stricte alternance femmes-hommes, et le panachage sera interdit. Une réforme qui, entre volonté d’égalité et réalités locales, divise fortement les élus.