Par Public Sénat
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Aujourd’hui direction Orléans et la rédaction de La République du Centre qui s’intéresse aux difficultés que rencontrent les établissements tels que les discothèques et les cabarets du fait de la crise sanitaire. Leur activité étant peu compatible avec les gestes barrières et de la distanciation physique notamment, les patrons de ces établissements s’inquiètent grandement pour leur survie. Le président d’un syndicat de professionnels souligne d’ailleurs dans les pages du journal que des fermetures d'établissements dans le département du Loiret sont à prévoir dans les mois à venir. La profession en appelle donc aux pouvoirs publics pour sortir de l’impasse.
Du côté des restaurateurs et des cafetiers les choses semblent se préciser. Ils devraient être fixés dès la semaine prochaine mais certains ont déjà pris de l’avance en prévoyant l’installation de terrasses XXL, ou en décidant de se lancer dans la vente à emporter.
Enfin le quotidien revient dans ses colonnes sur les contaminations au Covid-19 dans un abattoir de Fleury-les-Aubrais et sur la campagne de tests menée par l’unité mobile de l'hôpital d’Orléans, dédiée aux dépistages de masse. 20 nouveaux cas ont été découverts. Cet abattoir est le plus gros foyer infectieux que cette unité ait eu à traiter depuis le début de la pandémie.
Tous les détails dans cette interview de Florent Buisson, journaliste à la République du Centre.
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C’est un « nouveau droit » pour les parents. Il permettra aux femmes, comme aux hommes, de prendre un à deux mois de congé supplémentaires, après la naissance d’un enfant. Pour financer les 600 millions d’euros de la mesure, le gouvernement a décidé de réduire un droit existant dans les allocations familiales.
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Avant le discours prononcé par Emmanuel Macron en fin de journée, une série de commémorations se sont tenues ce jeudi 13 novembre à Saint-Denis et à Paris. 132 personnes sont mortes dans les attentats de 2015 au Stade de France, sur les terrasses parisiennes et au Bataclan. Des épisodes empreints d’une intense émotion, une décennie après les faits.
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Questions au Gouvernement du 12 novembre