À la une de Paris Normandie : « Le casse-tête des piscines »

À la une de Paris Normandie : « Le casse-tête des piscines »

Aujourd’hui, la rédaction de Paris Normandie, revient sur les difficultés que rencontrent les piscines rouennaises pour rouvrir leurs portes du fait notamment de protocoles sanitaires particulièrement contraignants. C’est un véritable casse-tête pour les équipes locales !Le quotidien revient également sur les difficultés économiques qui plombent l'industrie locale et les secteurs de l'automobile et de l'aéronautique.Thierry Rabiller, le rédacteur en chef de Paris Normandie nous l'explique en duplex.
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Aujourd’hui direction la Seine-Maritime et la rédaction de Paris Normandie qui titre ce matin sur le casse-tête de la réouverture des piscines. Autorisées à reprendre leur activité depuis le 2 juin, dans l’agglomération de Rouen, une seule a pu rouvrir. Pour les autres il va falloir attendre encore plusieurs semaines, les équipes étant confrontées à des protocoles sanitaires particulièrement complexes à mettre en place.

À découvrir également dans les pages du quotidien aujourd’hui un dossier consacré aux inventions qui ont vu le jour durant le confinement ! Partout sur le territoire de nombreux Normands ont tenté d’inventer de nouveaux dispositifs de protection. Le journal est allé à leur rencontre afin de voir où ils en sont aujourd’hui. L’une de ces inventions pourrait d’ailleurs avoir un succès mondial : il s’agit du stéthoscope 3D connecté mis au point par un habitant de Fécamp.

Le journal revient également sur les conséquences de la crise sanitaire sur l’économie locale. En Normandie, terre industrielle, les inquiétudes sont nombreuses quant au secteur de l’automobile mais aussi dans celui de l’aéronautique qui est en pleine croissance depuis 30 ans. Un appel est notamment lancé aux banques afin qu’elles soutiennent ces entreprises.

Coté municipales, à Rouen l’entre-deux tours a été inédit. Le candidat LREM Jean-Louis Louvel a décidé de jeter l’éponge et aucun membre de sa liste ne sera présent au second tour car les tentatives d’alliance avec Jean-François Bures et Marine Caron, les deux autres candidats dissidents du centre et de la droite, ont échoué. C’est donc un duel classique entre la droite et la gauche qui aura lieu le 28 juin avec logiquement une large victoire du candidat union de la gauche, arrivé en tête au 1er tour, Nicolas Mayer-Rossignol. Au Havre, Édouard Philippe est arrivé en tête au 1er tour suivi de Jean-Paul Lecoq le candidat communiste et des écologistes menés par Alexis Deck qui ne sont pas parvenus à s’entendre faute d’accord avec la France Insoumise. Édouard Philippe se montre pour le moment très discret à l’inverse de son adversaire communiste qui a repris sa campagne ce week-end.

Tous les détails dans cette interview de Thierry Rabiller, le rédacteur en chef de Paris Normandie.

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