Brexit : un débat passionnel qui peine à passionner

Brexit : un débat passionnel qui peine à passionner

Le 23 juin 2016, le camp du leave (partir) devançait le camp du remain (rester) d’une courte tête lors du référendum sur l'appartenance du Royaume-Uni à l'Union européenne. Depuis, trois années se sont écoulées, sans que le Brexit n’ait été appliqué... En revanche, il est devenu un véritable cas d'école de communication sur les réseaux sociaux ! Cette semaine dans Hashtag, les experts décryptent les dessous de cette bataille émotionnelle et pointent même un glissement rhétorique des discours, avec de plus en plus de sentiments et de moins en moins de rationalité…
Public Sénat

Par Pierre-Louis JEANNIN

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Véronique Reille Soult : Spécialiste en communication et e-réputation - Dentsu Consulting
Jon Henley : Correspondant aux affaires européennes du Guardian
Christophe de Voogd : Spécialiste de la rhétorique politique – Sciences Po
Jamil Dakhlia : Professeur de communication – Sorbonne Nouvelle

Retrouvez l'émission en intégralité le vendredi 23 mai à 23h puis samedi à 18h30.

Dans la même thématique

Brexit : un débat passionnel qui peine à passionner
4min

Société

« Sur le handicap, le regard de la société a progressé plus vite que celui des institutions » se réjouit Eglantine Eméyé

Mannequin, animatrice de télévision et comédienne. Elle a médiatisé le combat de son second fils Samy, atteint d’autisme sévère, pour alerter sur le manque de prise en charge des enfants handicapés, mais aussi la solitude des mères et des parents. Malgré la disparition de son fils en 2023, elle a décidé de poursuivre le combat. Cette semaine, Rebecca Fitoussi reçoit Eglantine Eméyé dans « Un monde, un regard » sur Public Sénat.

Le

FRA: Aurore Berge deplacement CAF et creche
7min

Société

Crèches : ce rapport du Sénat qui épingle la faiblesse des contrôles

Dans un rapport rendu public ce jeudi 20 mars, le Sénat alerte sur le manque de moyens des organismes chargés d’évaluer les structures d’accueil des jeunes enfants. Les élus évoquent des contrôles souvent techniques et parcellaires, qui ne permettent pas toujours d’identifier les signaux de maltraitance, ni de s’assurer du bon emploi des deniers publics.

Le