Temps de lecture :
3 min
Publié le
Mis à jour le
Comme le Courrier Picard, beaucoup de quotidiens régionaux publient chaque matin une attestation de sortie dérogatoire, précieux sésame pendant le confinement. Cette attestation est à découper dans le journal et est très utile par exemple pour les lecteurs qui n’ont pas d’imprimante.
Ensuite la presse régionale organise la solidarité autour des soignants. C’est ce que fait par exemple le Midi Libre.
Le journal donne a ouvert une ligne téléphonique à ses lecteurs pour enregistrer des messages de soutien au personnel de santé mobilisé. Des messages ensuite diffusés chaque semaine sur le site du Midi Libre dans la rubrique Ondes Positives.
Du côté du journal La Montagne, on ne manque pas d’idées pour soutenir les soignants. Les lecteurs petits et grands peuvent envoyer des dessins destinés à ces hommes et femmes en première ligne.
Et puis c’est une manière également d’occuper les enfants pendant ces longues semaines confinement.
Le journal Les Dernières Nouvelles d’Alsace et le journal l’Alsace ont créé une série de podcasts pour donner la parole aux soignants pendant cette crise. Cette série de podcast s’appelle Sons d’Actu. Ecoutez un extrait du témoignage d’une aide soignante de l’hôpital de Colmar. Les soignants du Grand Est fortement mobilisés dans cette crise du coronavirus.
Pour organiser la solidarité pendant cette période compliquée, le journal Nice-Matin a eu une idée intéressante.
Développer une application où chaque utilisateur peut faire des propositions, de garde d’enfant, d’aide aux soignants, aux personnes âgées. Une application baptisée Coronaides.
Au-delà de la solidarité, la presse régionale propose des activités pour bien vivre ces semaines de confinement. Le journal Ouest-France a par exemple mis en place des cours de sport à la maison pour rester actif dans cette période. Des cours qui vont du yoga au crossfit.
Chaque jour, le journal La Provence propose des pages Temps Libres qui regorgent d’idées pour bien vivre le confinement.
Des pages Temps libres qui donnent des idées d’activités culturelles. Aujourd’hui on peut par exemple y trouver des conseils de bandes dessinées et de jeux vidéos.
Et on finit par le journal Paris-Normandie qui a créé une émission de télé spéciale coronavirus.
Un rendez-vous quotidien d’information à 12h du lundi au vendredi. Avec toutes les infos essentielles sur cette crise sanitaire et de nombreux invités interrogés à distance bien sûr.
Et on envoie un message de soutien à nos confrères de Paris Normandie puisque le journal a été placé hier en liquidation judiciaire afin de retrouver un repreneur. La crise économique qui n’épargne pas la presse régionale et notre besoin d’information locale.
Société
Procès des viols de Mazan : malgré la médiatisation, des hommes politiques silencieux
Depuis plus de deux semaines, Dominique Pelicot et une cinquantaine d’hommes sont jugés à Avignon dans un procès qui interroge la société française sur le caractère systémique des violences faites aux femmes. Pendant ce temps, malgré l’important écho médiatique de l’affaire, une partie de la classe politique reste très discrète.
Le
Société
Magistrat spécialiste du droit des enfants, cela fait 20 ans que le juge Edouard Durand se dédie corps et âme à la lutte contre les violences sexuelles sur mineurs. Si les enfants sont plus considérés qu’ils ne l’étaient à l’époque, l’écart entre les plaintes et les condamnations reste criant. Cette semaine, Rebecca Fitoussi reçoit le magistrat Édouard Durand, dans « Un monde un regard ».
Le
Société
Le SNU, expérimenté depuis 2019, doit être généralisé à tous les jeunes de 15 à 17 ans d’ici 2026. Résultats insatisfaisants, objectifs peu clairs, coûts plus importants qu’anticipés… Cinq ans après son lancement, la Cour des comptes dresse un bilan sévère du dispositif.
Le
Société
Baisers imposés, fellations forcées, propos à caractère sexuel : sept semaines après l'onde de choc provoquée par de premières révélations, l'Abbé Pierre est visé par une nouvelle salve d'accusations de violences sexuelles dans un rapport rendu public vendredi et de nouvelles révélations de Radio France. La Fondation Abbé-Pierre a annoncé sa décision de changer de nom.
Le
100% Sénat