Nantes : un prêtre tué, les parlementaires apportent leur « soutien aux catholiques »
Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin l’a annoncé sur Twitter. Ce lundi, un prêtre a été tué à Nantes. Les Parlementaires n’ont pas tardé à apporter leur soutien aux « catholiques de France ».

Nantes : un prêtre tué, les parlementaires apportent leur « soutien aux catholiques »

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin l’a annoncé sur Twitter. Ce lundi, un prêtre a été tué à Nantes. Les Parlementaires n’ont pas tardé à apporter leur soutien aux « catholiques de France ».
Public Sénat

Par la rédaction de Public Sénat

Temps de lecture :

3 min

Publié le

Mis à jour le

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin l’a annoncé sur Twitter. Ce lundi, un prêtre a été tué à Nantes. Le ministre a également annoncé se rendre sur place.

Selon les informations de l’AFP, un homme s’est présenté en milieu de matinée à la brigade de gendarmerie de Mortagne-sur-Sèvre et a dit avoir tué un ecclésiastique. L’homme avait été placé sous contrôle judiciaire dans le cadre de l’enquête sur l’incendie de la cathédrale de Nantes en juillet 2020.

 

 

Sur Twitter, les sénateurs et sénatrices ont exprimé leur soutien « à la communauté catholique ».

Le chef de file des Républicains et sénateur de Vendée, Bruno Retailleau, a également interrogé la présence de cet homme en France alors que « celui-ci était le sans-papiers qui avait incendié la cathédrale de Nantes ». Interpellé par Marine Le Pen, le ministre de l’Intérieur a répondu sur ce point : « Cet étranger n’était pas expulsable, malgré son arrêté d’expulsion, tant que son contrôle judiciaire n’était pas levé ».

Partager cet article

Dans la même thématique

France Protests
6min

Société

Mobilisation du 18 septembre : l’intersyndicale, clé d’un véritable retour en force des syndicats ? 

Plusieurs centaines de milliers de personnes – plus d’un million de personnes selon la CGT – ont défilé ce jeudi 18 septembre partout en France contre les mesures budgétaires présentées par le précédent gouvernement de François Bayrou. Une mobilisation massive à l’appel de l’intersyndicale, de nouveau réunie deux ans et demi après la contestation de la réforme des retraites, mais qui s’était soldée par un échec des revendications. Parmi les salariés, « il y a une demande d’unité syndicale », souligne Dominique Andolfatto, universitaire spécialiste du syndicalisme.

Le