Ni optimisme ni pessimisme : la collapsologie comme moteur de l’activisme
Les rapports, études et travaux de recherches s’égrènent pour nous livrer leur verdict sans appel : un dérèglement climatique majeur est enclenché, la biodiversité s’effondre et les ressources de la planète disparaissent.Notre modèle de société doit profondément muter afin d’espérer maintenir sur Terre des conditions vivables. Nos politiques, élus sur des promesses de croissance, d’augmentation du « pouvoir d’achat » et du niveau de vie ne peuvent pas tenir ce discours, et préfèrent quant à eux parler de « transition » voir de « croissance verte »Hashtag décrypte cette semaine l’opposition entre ces deux visions et le sursaut écologiste qu’illustrent les mobilisations pour le climat, Greta Thunberg ou encore l’Affaire du Siècle, notamment sur les réseaux sociaux.

Ni optimisme ni pessimisme : la collapsologie comme moteur de l’activisme

Les rapports, études et travaux de recherches s’égrènent pour nous livrer leur verdict sans appel : un dérèglement climatique majeur est enclenché, la biodiversité s’effondre et les ressources de la planète disparaissent.Notre modèle de société doit profondément muter afin d’espérer maintenir sur Terre des conditions vivables. Nos politiques, élus sur des promesses de croissance, d’augmentation du « pouvoir d’achat » et du niveau de vie ne peuvent pas tenir ce discours, et préfèrent quant à eux parler de « transition » voir de « croissance verte »Hashtag décrypte cette semaine l’opposition entre ces deux visions et le sursaut écologiste qu’illustrent les mobilisations pour le climat, Greta Thunberg ou encore l’Affaire du Siècle, notamment sur les réseaux sociaux.
Public Sénat

Par Benjamin Bataille

Temps de lecture :

0 min

Publié le

Mis à jour le

Partager cet article

Dans la même thématique

Covid-19 Saint Denis hopital Delafontaine
6min

Société

« C’est une plaisanterie ! » : le choix de repousser encore l’examen au Sénat des textes sur la fin de vie divise l’hémicycle

L’examen de la proposition de loi sur le droit à l’aide à mourir n’a pas été inscrit à l’agenda du Sénat dans les prochaines semaines. Même situation pour le texte sur l’amélioration des soins palliatifs. Si la droite s’inquiétait d’un délai trop serré pour étudier ces questions sensibles avant le budget, la gauche dénonce, elle, « un prétexte de calendrier » pour repousser les débats.

Le