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On parle d’insécurité à la Une de la Dépêche du Midi avec une nouvelle fusillade qui a éclaté lundi à Toulouse dans le quartier Lalande. Criblé de balle, un jeune homme de 18 ans est décédé. Au total 11 fusillades ont éclaté dans la Ville Rose depuis deux mois et 3 personnes ont été tuées.
On continue sur le thème de l’insécurité avec cet éditorial à lire dans Ouest-France
Pour Dominique Moïsi, politologue de l’Institut Montaigne, il faut prendre du recul sur le mot ensauvagement qui divise la classe politique actuellement
Marine Le Pen l’utilise pour dénoncer la violence due à l’immigration, le poète Aimé Césaire l’utilisait lui pour dénoncer la violence issue du colonialisme.
Dominique Moïsi se demande si la violence gratuite n’a pas toujours existé, et affirme que l’épidémie actuelle ne favorise pas la modération dans l’analyse de l’actualité. Il rappelle que la politique ne doit pas consister à suivre les émotions de ses électeurs.
À la une du Dauphiné Libéré, la crise sanitaire exacerbe les tensions avec les anti-masques qui multiplient les manifestations en Europe au nom de la liberté et d’un certain scepticisme face à nos gouvernants. Ils refusent l’obligation de porter le masque. Une fronde qui a obligé le Conseil d’État à refixer les règles.
Sur le plan sanitaire, les cas se multiplient et notamment en Aveyron à la une de Centre Presse. Un cluster a été détecté dans un Ehpad à Sévérac et le virus circule dans des écoles, des crèches et des associations sportives.
Société
TikTok : est-il possible d’interdire les réseaux sociaux aux mineurs de moins de 15 ans ?
La commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les effets psychologiques de TikTok préconise notamment une interdiction des réseaux sociaux pour certains mineurs et l’instauration d’un couvre-feu numérique. Des recommandations saluées par les sénateurs qui ont travaillé sur ce sujet, mais qui pourraient se heurter au cadre juridique européen et à certaines difficultés techniques.
Le
Société
Lycées barricadés, axes routiers bloqués et rassemblements essaimés dans la capitale, Paris a vu naitre des centaines d’initiatives de mobilisation, rapidement contenues par les forces de l’ordre qui ont procédé à l'interpellation de 199 personnes. Divers élus de gauche étaient présents aux côtés des manifestants.
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Société
« Bloquons Tout » : au matin du 10 septembre, premières actions, près de 200 interpellations
Des premiers blocages et manifestations ont été recensés en France aux premières heures de la journée de mobilisation, qui a lieu au lendemain de la nomination de Sébastien Lecornu comme Premier ministre, faisant suite à la démission de François Bayrou.
Le
Société
« Tolérance zéro » face à « Bloquons Tout » : 80 000 de forces de sécurité déployées le 10 septembre
A la veille du mouvement « Bloquons Tout », Bruno Retailleau a dressé le tableau des actions anticipées : manifestations, blocages de lieux stratégiques, sabotages… et n’a pas manqué de rappeler la mise en place d’un dispositif de sécurité « exceptionnel », de 80 000 policiers et gendarmes, pour endiguer toute tentative de débordement.
Le
En Moselle avec Catherine Belrhiti