Le chef de l'Etat a prononcé jeudi 25 avril à la Sorbonne un long discours pour appeler les 27 à bâtir une « Europe puissance ». À l’approche des élections européennes, son intervention apparait aussi comme une manière de dynamiser une campagne électorale dans laquelle la majorité présidentielle peine à percer. Interrogés par Public Sénat, les communicants Philippe Moreau-Chevrolet et Emilie Zapalski décryptent la stratégie du chef de l’Etat.
Groupe écologiste au Sénat : Ronan Dantec espère 15 membres
Par Noémie Metton
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Nouveau groupe écologiste au Sénat : « Ce matin on est à une douzaine, je pense qu'il y a encore d'autres sénateurs qui se posent des questions. » [...] « Je pense qu'il y a une perspective vers la quinzaine qui est ouverte ce matin ».
Présidence du groupe écologiste : « La recherche du consensus dans la gouvernance du groupe c'est la priorité. On va se réunir demain matin et on trouvera un consensus »
Union de la gauche : « Les écologistes et la gauche ont perdu par désunion entre dix et douze sièges. Ce matin, s'il y avait eu une dynamique d'union, la droite serait en baisse significative et les groupes écologiste, socialiste et communiste seraient en hausse » « Il y avait une bizarrerie démocratique dans le fait que les écologistes pèsent beaucoup dans la société française et n'étaient pas représentés au Sénat. Après je suis favorable à l'union avec les différents groupes de gauche.»
Élections régionales : « Pour les régionales, on ne va pas vers l'union au premier tour [avec les socialistes]. Mais il faudra préparer des dynamiques de rassemblement »