Le sénateur Jean-Yves Roux quitte le groupe PS du Sénat pour le RDSE
Jean-Yves Roux, sénateur des Alpes de Haute-Provence quitte le groupe PS de la Haute assemblée pour rejoindre le groupe RDSE  (Rassemblement démocratique et social européen), à majorité radicale. C'est le 2e transfert du PS au RDSE, après Didier Guillaume, l'ancien président du groupe PS.

Le sénateur Jean-Yves Roux quitte le groupe PS du Sénat pour le RDSE

Jean-Yves Roux, sénateur des Alpes de Haute-Provence quitte le groupe PS de la Haute assemblée pour rejoindre le groupe RDSE  (Rassemblement démocratique et social européen), à majorité radicale. C'est le 2e transfert du PS au RDSE, après Didier Guillaume, l'ancien président du groupe PS.
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

C’est la saison des transferts au Sénat.  Après Didier Guillaume sénateur de la Drôme, c’est au tour de Jean-Yves Roux, sénateur des Alpes de Haute-Provence, de quitter le groupe PS de la Haute assemblée pour rejoindre lui aussi  le groupe RDSE  (Rassemblement démocratique et social européen), à majorité radicale. Membre de la commission de la culture, Jean-Yves Roux a été élu sénateur le 28 septembre 2014

 Le groupe RDSE passe donc à 23 membres, tandis que le PS en compte 76.

Partager cet article

Dans la même thématique

Mericourt: Emmanuel Macron meets with  readers of the Ebra group,
11min

Politique

Face aux fake news, comment l’Elysée a opéré un « virage » dans sa communication

Suite aux « fausses informations » relayées sur le sujet de la « labellisation » des médias, l’Elysée a décidé de vite les démentir, via une vidéo sur X. Une nouvelle stratégie de communication, à l’œuvre depuis quelques mois, déjà observée lors d’une prétendue prise de cocaïne par Emmanuel Macron. Lui-même « victime » des affres des réseaux avec l’infox Jean-Michel Trogneux, il est d’autant plus sensibilisé à cet enjeu démocratique.

Le

Paris: Ouverture Shein magasin BHV
6min

Politique

Municipales 2026 : la gauche parisienne en quête d’union

À quatre mois des municipales, socialistes et écologistes s’enlisent dans des négociations aussi intenses que fragiles. Alors que Rachida Dati domine les sondages et impose un sentiment d’urgence, PS, PCF et EELV tentent d’arracher un accord de premier tour sans perdre la face. La gauche parisienne avance à pas comptés vers une union qui semble à la fois indispensable et désormais à portée de main.

Le