Le Premier ministre a annoncé plusieurs mesures relatives à l’école, la famille et les réseaux sociaux dans le cadre d’un discours où il a demandé un « sursaut d’autorité ». Si le diagnostic sur la violence des jeunes est partagé par les sénateurs de tous bords, ils veulent maintenant savoir comment cela se traduira concrètement.
158 candidats investis par La République En Marche pour les sénatoriales
Par Public Sénat
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La République En Marche a investi en tout 158 candidats pour les sénatoriales du 24 septembre, où 171 sièges sont renouvelés, annonce le parti dans un communiqué. Une différence qui s’explique notamment par le fait que le parti présidentiel ne présente pas de liste en Martinique ou en Nouvelle Calédonie.
LREM précise que « 6 listes sont menées par des candidats issus de la société civile et plus d’un tiers des têtes de liste ou des candidats dans les départements à scrutin uninominal sont des femmes ». « La parité est atteinte sur l’ensemble des investitures » assure encore le parti. La parité est obligatoire pour les départements élisant les sénateurs à la proportionnelle, mais pas dans les départements au scrutin majoritaire.
LREM souligne aussi « la désignation de candidats issus de toutes les sensibilités politiques » (voir notre article pour plus de détails sur les couleurs politiques des candidats LREM).
La commission d’investiture d’En Marche a voulu « designer des candidats ayant une connaissance approfondie des élus, de leur territoire ou du fonctionnement des collectivités territoriales », alors que la moitié des candidats présentés aux législatives venaient de la société civile ou n’avait jamais exercé de mandat. Une différence qui s’explique par la spécificité de l’élection. Les sénateurs sont élus essentiellement par les élus locaux. Les conseillers municipaux et leurs délégués représentent 96% des grands électeurs.