Alain Juppé: “Je ne serai pas un Plan B”

Alain Juppé: “Je ne serai pas un Plan B”

Le maire de Bordeaux, Alain Juppé, a exclu mercredi soir d'être un "plan B" en cas de retrait du candidat de droite à la...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Le maire de Bordeaux, Alain Juppé, a exclu mercredi soir d'être un "plan B" en cas de retrait du candidat de droite à la présidentielle, François Fillon, dans la tourmente après les révélations sur de présumés emplois fictifs de son épouse.

"J’ai dit la semaine dernière ce que je pensais et je n’ai pas varié". "En toute hypothèse, je ne serai pas le Plan B", a martelé Alain Juppé (Les Républicains) devant des journalistes à Bordeaux. Le maire de Bordeaux n'a pas souhaité faire d'autres déclarations.

Vendredi, le maire de Bordeaux, qui était arrivé derrière François Fillon à la primaire de la droite, avait exclu "clairement et définitivement" d'être un recours dans l'éventualité d'un retrait du candidat de la droite: "Je n'ai pas du tout l'intention de me lancer dans une opération de repêchage", avait-il indiqué. "A l'instant T, la question ne se pose pas, c'est François Fillon notre candidat", avait-il ajouté.

Un député LR de la Manche, Philippe Gosselin, soutien d'Alain Juppé à la primaire, avait lancé plus tôt mercredi "un appel" au maire de Bordeaux "pour qu'il réfléchisse à la possibilité de prendre le relais de François Fillon".

Dans la même thématique

Deplacement du Premier Ministre a Viry-Chatillon
7min

Politique

Violence des mineurs : le détail des propositions de Gabriel Attal pour un « sursaut d’autorité »

En visite officielle à Viry-Châtillon ce jeudi 18 avril, le Premier ministre a énuméré plusieurs annonces pour « renouer avec les adolescents et juguler la violence ». Le chef du gouvernement a ainsi ouvert 8 semaines de « travail collectif » sur ces questions afin de réfléchir à des sanctions pour les parents, l’excuse de minorité ou l’addiction aux écrans.

Le

Turin – Marifiori Automotive Park 2003, Italy – 10 Apr 2024
6min

Politique

Au Sénat, la rémunération de 36,5 millions d’euros de Carlos Tavares fait grincer des dents. La gauche veut légiférer.

Les actionnaires de Stellantis ont validé mardi 16 avril une rémunération annuelle à hauteur de 36,5 millions d’euros pour le directeur général de l’entreprise Carlos Tavares. Si les sénateurs de tous bords s’émeuvent d’un montant démesuré, la gauche souhaite légiférer pour limiter les écarts de salaires dans l’entreprise.

Le