Attaque de Strasbourg : « L’angoisse est là » selon Jacques Bigot

Attaque de Strasbourg : « L’angoisse est là » selon Jacques Bigot

Au micro de « Sénat 360 », Jacques Bigot sénateur (PS) du Bas-Rhin raconte quelle est la situation à Strasbourg, après l’attaque terroriste de mardi soir.
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Il revient de Strasbourg ce matin même. Le sénateur (PS) Jacques Bigot raconte, au micro de Public Sénat, l’ambiance qui règne dans la ville, après l’attaque terroriste de mardi soir :

« La ville est quasi déserte (…) L’angoisse est là. L’assassin n’a pas été retrouvé. Donc, une menace pèse toujours. En plus il y a des messages qui circulent (…) de fausses informations. Donc il y a une forme de panique qui s’installe (…) Nous sommes dans l’attente de pouvoir rouvrir le marché de Noël. »

Interrogé également sur le désaccord concernant la création d’un parquet national antiterroriste entre les sénateurs (contre) et les députés (pour), le sénateur socialiste répond : « On n’a pas compris quel était l’intérêt. On n’est pas contre fondamentalement. Mais aujourd’hui, on a un parquet antiterroriste qui fonctionne, pourquoi faut-il inventer autre chose ? »

Dans la même thématique

Attaque de Strasbourg : « L’angoisse est là » selon Jacques Bigot
2min

Politique

Départ du proviseur du lycée Maurice-Ravel : « Dans un monde normal, celle qui aurait dû partir, c’est l’élève », dénonce Bruno Retailleau

Menacé de mort après une altercation avec une élève à qui il avait demandé de retirer son voile, le proviseur du lycée parisien Maurice-Ravel a quitté ses fonctions. Une situation inacceptable pour le président des Républicains au Sénat, qui demande à la ministre de l’Éducation nationale d’« appliquer la loi jusqu’au bout ».

Le

PARIS: UNEDIC, prevision financieres de l assurance chomage
7min

Politique

Réforme des règles de l’assurance chômage : les pistes du gouvernement

Après un séminaire gouvernemental sur le travail, où il sera question de l’assurance chômage, le premier ministre va s’exprimer ce soir lors du 20 heures du TF1. La piste principale est celle d’une réduction de la durée d’indemnisation des chômeurs, actuellement de 18 mois maximum. Les règles de l’assurance chômage ont déjà été durcies deux fois, depuis qu’Emmanuel Macron est Président.

Le