Benalla: Mélenchon dénonce une « escalade sans précédent » après les propos de Castaner
Jean-Luc Mélenchon a fustigé vendredi "l'escalade sans précédent" dans "le bras de fer" sur l'affaire Benalla entre l'exécutif et...

Benalla: Mélenchon dénonce une « escalade sans précédent » après les propos de Castaner

Jean-Luc Mélenchon a fustigé vendredi "l'escalade sans précédent" dans "le bras de fer" sur l'affaire Benalla entre l'exécutif et...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Jean-Luc Mélenchon a fustigé vendredi "l'escalade sans précédent" dans "le bras de fer" sur l'affaire Benalla entre l'exécutif et le Sénat, dominé par l'opposition de droite, après l'avertissement lancé par Christophe Castaner aux sénateurs.

Le délégué général de La République en marche a averti vendredi matin lors d'une conférence de presse que "si certains pensent qu'ils peuvent s'arroger un pouvoir de destitution du président de la République, ils sont eux-mêmes des menaces pour la République".

"Le bras de fer de Macron, Castaner et Benalla avec le Sénat est du jamais vu. Il marque désormais une escalade sans précédent avec l'accusation de Castaner selon laquelle le Sénat chercherait la destitution du Président de la République", a réagi le leader de La France insoumise dans un post sur sa page Facebook.

"En exportant sa crise d'autorité, l'exécutif l'amplifie et déstabilise les institutions. Gare aux chutes imprévues!", a-t-il lancé.

Les auditions de la commission d'enquête au Sénat dans l'affaire touchant l'ex-conseiller de l'Elysée ont repris mercredi. Alexandre Benalla ainsi que l'ex-salarié de LREM Vincent Crase, filmés en train de frapper des manifestants le 1er mai à Paris, seront entendus mercredi prochain.

Partager cet article

Dans la même thématique

Benalla: Mélenchon dénonce une « escalade sans précédent » après les propos de Castaner
2min

Politique

« Accepter de perdre nos enfants » : « Nous devons écouter » le chef d’état-major des armées, soutient Gérard Larcher

Au congrès des maires de France, le président du Sénat, Gérard Larcher a apporté son soutien au général Fabien Mandon. Mercredi devant les élus, le chef d’état-major des Armées a suscité la polémique en considérant que la France allait devoir « accepter de perdre ses enfants » dans la perspective d’un conflit prochain avec la Russie.

Le

Benalla: Mélenchon dénonce une « escalade sans précédent » après les propos de Castaner
4min

Politique

VIDEO. Risque de guerre avec la Russie : la France doit « accepter de perdre ses enfants », prévient le chef d’état-major des armées, Fabien Mandon

Devant le congrès des maires, le chef d’état-major des Armées, Fabien Mandon, a affirmé qu’en cas de guerre avec la Russie, on devait « accepter de nous faire mal pour protéger ce que l’on est ». Autrement dit, accepter la mort de soldats et la nécessité « de souffrir économiquement parce que les priorités iront à de la production défense ». Dans cette optique, il estime que les maires ont « un rôle majeur » pour relayer le message.

Le