Bussereau : « Si les choses vont dans la bonne direction, il y aura des contrats de confiance » avec le gouvernement

Bussereau : « Si les choses vont dans la bonne direction, il y aura des contrats de confiance » avec le gouvernement

Dominique Bussereau, président de l’Association des départements de France (ADF), attend des réponses du gouvernement, alors que l’assemblée de l’ADF, diffusée par Public Sénat, se tient la semaine prochaine. Le gouvernement souhaite mettre en place un pacte de confiance avec les collectivités. Edouard Philippe a expliqué mardi sur Public Sénat le mécanisme qu’il souhaitait instituer […]
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Dominique Bussereau, président de l’Association des départements de France (ADF), attend des réponses du gouvernement, alors que l’assemblée de l’ADF, diffusée par Public Sénat, se tient la semaine prochaine.

Le gouvernement souhaite mettre en place un pacte de confiance avec les collectivités. Edouard Philippe a expliqué mardi sur Public Sénat le mécanisme qu’il souhaitait instituer pour pousser les collectivités à faire des économies.

« Pour qu’il y ait de la confiance, il faut qu’un certain nombre de décisions soit prises, que les négociations soit entamées sur certains sujets. Si les choses vont dans la bonne direction, il y aura des contrats de confiance, si elles ne vont pas dans de bonnes directions, nous ne pourrons pas signer ces contrats » prévient Dominique Bussereau (voir la vidéo, images de Jérôme Rabier)

L’ADF attend des réponses sur la question du financement des allocations individuelles de solidarité (AIS), sur l’application de la loi NOTRe et sur le financement de la prise en charge des migrants mineurs et non accompagnés (MNA).

Partager cet article

Dans la même thématique

Bussereau : « Si les choses vont dans la bonne direction, il y aura des contrats de confiance » avec le gouvernement
2min

Politique

Reconnaissance de la Palestine : « On aurait dû le faire plus tôt », estime Jacques Attali

Invité de notre matinale, Jacques Attali est revenu sur la reconnaissance de l’Etat de Palestine par la France lors de l’Assemblée générale de l’ONU ce lundi. L’ancien haut fonctionnaire et conseiller de François Mitterrand salue une étape « nécessaire », mais rappelle que sans défaite politique de Benyamin Netanyahou, la situation risque de ne pas s’améliorer.

Le

SIPA_01150538_000103
8min

Politique

Présidentielle 2027 : la marche est-elle trop haute pour un candidat du bloc central ?

Ce week-end à Arras, Gabriel Attal a posé les jalons d’une candidature à la présidentielle de 2027. Comme d’autres candidats potentiels au centre, le secrétaire général de Renaissance a pris ses distances avec le bilan du Président de la République. Pas de quoi le démarquer de ses concurrents, car l’espace politique du bloc central s’est restreint en 10 ans.

Le