Edition: Nicolas Sarkozy a fait un tabac en librairie en 2019
L'ancien président Nicolas Sarkozy a fait mieux que l'ancienne First Lady Michelle Obama au rayon librairie avec son livre ...

Edition: Nicolas Sarkozy a fait un tabac en librairie en 2019

L'ancien président Nicolas Sarkozy a fait mieux que l'ancienne First Lady Michelle Obama au rayon librairie avec son livre ...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

L'ancien président Nicolas Sarkozy a fait mieux que l'ancienne First Lady Michelle Obama au rayon librairie avec son livre "Passions", deuxième meilleure vente de l'année dans la catégorie "Essais et documents", selon des données publiées vendredi par le magazine Livres Hebdo.

Publié en juin par les éditions L'Observatoire, "Passions" s'est écoulé à 190.456 exemplaires, assez loin derrière "La panthère des neiges" de Sylvain Tesson (1er du classement avec 351.892 exemplaires) mais largement devant "Devenir" de Michelle Obama (6e avec 102.315 exemplaires).

Au classement général des meilleures ventes de livres de l'année, toutes catégories et tous formats confondus, Nicolas Sarkozy occupe une envieuse 28e place.

Dans "Passions", Nicolas Sarkozy raconte ses débuts au RPR, puis sa trajectoire jusqu'à son élection à l’Élysée, en 2007, date à laquelle s'achève l'ouvrage.

Nicolas Sarkozy s'était déjà livré dans une autobiographie partielle, intitulée "Libre" (Robert Laffont, 2003). Il a connu d'autres succès de librairie avec "La France pour la vie" et "Tout pour la France" (tous deux publiés chez Plon en 2016).

L'ex-chef de l’État doit être jugé à Paris pour corruption du 5 au 22 octobre dans l'affaire dite des "écoutes".

Nicolas Sarkozy, retiré de la vie politique depuis sa défaite à la primaire de la droite fin 2016, doit également être jugé pour ses dépenses excessives de campagne 2012 révélées par l'affaire Bygmalion, et il est mis en examen dans l'enquête sur des accusations de financement libyen de sa campagne 2007.

Partager cet article

Dans la même thématique

13-UNIS : la course en hommage aux 10 ans des attentats de novembre 2015
5min

Politique

Commémoration du 13 novembre : 10 ans après les attentats, la menace terroriste « s’accroît »

Alors que la France rend hommage aux victimes des attentats de Paris de 2015, le ministre de l’Intérieur a appelé les préfets à « renforcer les mesures de vigilance ». Le procureur national antiterroriste (Pnat) Olivier Christen, indique même que la menace terroriste, jihadiste, d’ultradroite ou émanant d’Etats étrangers « s’accroît ».

Le

France Paris Shooting
4min

Politique

Attentats du 13 novembre 2015 : dix ans après, comment les lois antiterroristes ont évolué ?

Dix ans après le traumatisme des attentats du 13 novembre 2015, le cadre juridique permettant la prévention et la répression d’actes terroristes a largement évolué. Après les attaques du Bataclan, des terrasses parisiennes et du Stade de France ayant fait 131 morts et plus de 400 blessés, la France avait basculé dans l’état d’urgence, un régime juridique d’exception qui a influencé les évolutions législatives.

Le

Edition: Nicolas Sarkozy a fait un tabac en librairie en 2019
4min

Politique

Immigration : Laurent Nunez a « bon espoir que le plan 3 000 places de centres de rétention administrative aboutisse en 2029 »

A l’approche de l’examen du budget, le ministre de l’Intérieur, Laurent Nunez était auditionné par commission des lois du Sénat a présenté des crédits en hausse pour la mission sécurité et immigration de son ministère. Il en a profité pour confirmer que l’objectif 3 000 places en des centres de rétention administrative, initialement prévu pour 2027, ne sera pas tenu, comme l’avait révélé un rapport du Sénat.

Le

5min

Politique

Budget : des sénateurs souhaitent assouplir le droit des successions pour favoriser les dons aux associations

Les sénateurs Bernard Jomier et Grégory Blanc (Place Publique) ont déposé un amendement au projet de loi de finances 2026, visant à élargir la liberté des légataires dans la transmission de leur patrimoine, pour favoriser les donations aux causes d’intérêt général. De quoi permettre un débat « le plus large possible » selon les élus, dans une séquence budgétaire intense.

Le