Par Public Sénat
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« Je ne ferme pas la porte à cette possibilité ». Invité de l’émission Audition Publique sur Public Sénat, le vice-président du Rassemblement national Jordan Bardella a ouvert, pour la première fois, la possibilité d’une candidature à la tête de la région Île-de-France, alors que la tenue des élections est en proie aux doutes en raison de l’épidémie de Covid-19 et des nouvelles mesures restrictives prises devant la situation sanitaire.
« Ma décision n’est pas prise mais c’est vrai que l’Île-de-France c’est ma région, j’ai grandi en Seine-Saint-Denis, je me suis construit politiquement dans une cité HLM de Seine-Saint-Denis », soutient Jordan Bardella, affirmant, par ailleurs que « sa décision n’était pas prise ». « L’Île-de-France est un peu la France en miniature, lorsque je vois des commissariats attaqués, des policiers attaqués à bout-portant, nos compatriotes craindre de ne pas pouvoir tranquillement sortir dans la rue, j’ai connu tout cela et ma région de cœur reste l’Île-de-France », renchérit l’eurodéputé.
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[Info PublicSenat.fr] La condamnation de Nicolas Sarkozy à 5 ans de prison avec mandat de dépôt à effet différé et exécution provisoire, prononcée par le tribunal de Paris, impose à l’ancien chef de l’Etat d’aller en prison. Largement critiquée par les LR, cette mesure vient pourtant de l’application d’un amendement Renaissance, adopté avec le soutien de la droite sénatoriale, en 2018.
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Le président du groupe PS du Sénat, Patrick Kanner, a écrit au président du Sénat pour exprimer son désaccord sur des critiques formulées par le sénateur LR des Yvelines sur l’exécution provisoire, qui va mener Nicolas Sarkozy en prison. Son groupe ne veut « pas participer à cette mise en cause qui, finalement, fragilise l’équilibre de nos institutions ».
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Après l’immobilisation d’un pétrolier de la flotte fantôme russe au large de Saint-Nazaire, Emmanuel Macron a appelé ses alliés européens à durcir le ton face à la Russie et à trouver un moyen d’empêcher la flotte de contourner les sanctions européennes sur les hydrocarbures.
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La promesse du gouvernement en 2023 de doubler la capacité des centres de rétention administrative (CRA) pour atteindre 3 000 places en 2027 ne sera pas tenue. C’est ce qui ressort d’un rapport de la sénatrice LR Marie-Carole Ciuntu, rapporteure spéciale de la mission immigration qui relève que les CRA sont « le moyen le plus sûr » d’exécuter les mesures d’éloignement.
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