Fabien Roussel (PCF) aux « gilets jaunes »: « Rencontrons-nous, « convergeons »
"Rencontrons nous, discutons, convergeons", a lancé mardi le secrétaire national du Parti communiste, Fabien Roussel, à l'endroit...

Fabien Roussel (PCF) aux « gilets jaunes »: « Rencontrons-nous, « convergeons »

"Rencontrons nous, discutons, convergeons", a lancé mardi le secrétaire national du Parti communiste, Fabien Roussel, à l'endroit...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

"Rencontrons nous, discutons, convergeons", a lancé mardi le secrétaire national du Parti communiste, Fabien Roussel, à l'endroit des "gilets jaunes", en appelant à "un front uni" avec les syndicats.

"Je pense qu'il y aurait intérêt à ce que tout ce monde-là se rassemble, ce serait beau", a considéré le nouveau numéro un du PCF, qui a pris ses fonctions ce week-end, sur BFMTV et RMC.

En faisant référence à Mai-68, lorsque "dix millions de Français ont fait grève, et (que) le Smic a augmenté de 35%", M. Roussel a "lancé un appel" aux gilets jaunes: "je leur dis qu'ils ne devraient pas être aussi méfiants et regarder ce que chacun d'entre nous (les politiques, NDLR) dit".

Certains "gilets jaunes" ont appelé à une nouvelle action samedi.

Emmanuel Macron doit par ailleurs s'exprimer dans la matinée lors de l'installation du Haut conseil pour le climat, lors de laquelle plusieurs annonces sont attendues.

"Si le président de la République n'a pas apporté de réponses claires sur cette question de pouvoir d'achat, il faut que les Français continuent de se rassembler, de manifester", "qu'ils maintiennent la pression" de manière "calme, sereine et déterminée", a encore considéré le leader communiste.

Partager cet article

Dans la même thématique

Fabien Roussel (PCF) aux « gilets jaunes »: « Rencontrons-nous, « convergeons »
2min

Politique

« Accepter de perdre nos enfants » : « Nous devons écouter » le chef d’état-major des Armées, soutient Gérard Larcher

Au congrès des maires de France, le président du Sénat, Gérard Larcher a apporté son soutien au général Fabien Mandon. Mercredi devant les élus, le chef d’état-major des Armées a suscité la polémique en considérant que la France allait devoir « accepter de perdre ses enfants » dans la perspective d’un conflit prochain avec la Russie.

Le

Fabien Roussel (PCF) aux « gilets jaunes »: « Rencontrons-nous, « convergeons »
4min

Politique

VIDEO. Risque de guerre avec la Russie : la France doit « accepter de perdre ses enfants », prévient le chef d’état-major des Armées, Fabien Mandon

Devant le congrès des maires, le chef d’état-major des Armées, Fabien Mandon, a affirmé qu’en cas de guerre avec la Russie, on devait « accepter de nous faire mal pour protéger ce que l’on est ». Autrement dit, accepter la mort de soldats et la nécessité « de souffrir économiquement parce que les priorités iront à de la production défense ». Dans cette optique, il estime que les maires ont « un rôle majeur » pour relayer le message.

Le