Politique
Au lendemain du discours « historique » d’Emmanuel Macron à l’ONU, la droite sénatoriale interroge sa décision. « On ne met pas la charrue avant les bœufs pour des raisons de communication politique », pointe Cédric Perrin, président LR de la commission des affaires étrangères. « C’était très fort », salue au contraire la présidente PS du groupe d’amitié France-Palestine du Sénat, Gisèle Jourda, qui est sur place. Elle espère que la France « va pouvoir entraîner dans son sillage d’autres pays ».
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