L’Elysée dément des travaux pour Benalla dans un logement public à Paris
L'Elysée a démenti lundi soir que des travaux soient envisagés pour réunir deux appartements afin de loger Alexandre Benalla dans...

L’Elysée dément des travaux pour Benalla dans un logement public à Paris

L'Elysée a démenti lundi soir que des travaux soient envisagés pour réunir deux appartements afin de loger Alexandre Benalla dans...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

L'Elysée a démenti lundi soir que des travaux soient envisagés pour réunir deux appartements afin de loger Alexandre Benalla dans une dépendance du palais, quai Branly à Paris, comme avancé par L'Express.

Selon l'hebdomadaire, un budget de 180.000 euros aurait été prévu afin de réunir deux appartements et en faire un duplex, d'une surface de près de 200 mètres carrés.

L'ex-collaborateur de M. Macron a lui-même déclaré être domicilié depuis le 9 juillet dans une dépendance de l'Élysée, quai Branly, d'après Le Monde.

Alexandre Benalla "n’a jamais habité sur le site de l’Alma", a indiqué à l'AFP une porte-parole de l'Elysée.

La présidence confirme l'existence d'une "demande de logement" qui a été "acceptée dans le courant de l'année 2018"; logement que M. Benalla n'a "jamais occupé".

"En novembre 2017 il a été décidé pour le site de l’Alma d’une rénovation complète de quatre appartements" qui étaient "en mauvais état", selon la porte-parole qui "dément" la réunion de deux appartements ainsi que des chiffres "inexacts".

Les vidéos montrant Alexandre Benalla, ex-collaborateur d'Emmanuel Macron, en train de frapper et malmener deux manifestants le 1er mai à Paris alors qu'il accompagnait les forces de l'ordre en tant qu'"observateur", ne cessent d'avoir des répercussions: le chef de l'Etat est sommé de s'expliquer, et les débats parlementaires sur sa réforme constitutionnelle ont été renvoyés à la rentrée.

L'Assemblée a entamé lundi les auditions de ministres et de hauts responsables policiers, suivis mardi par le directeur de cabinet de M. Macron, Patrick Strzoda.

Partager cet article

Dans la même thématique

MAcron 3 ok
10min

Politique

« Labellisation » des médias : la polémique enfle entre Emmanuel Macron, les médias Bolloré, LR et RN

En parlant de « labellisation » des médias, qui serait faite par les journalistes et non l’Etat, Emmanuel Macron a suscité l’ire des médias du groupe Bolloré, comme du RN et des LR. Au point que l’Elysée réponde en vidéo pour démentir les « fausses informations », au risque de relancer la polémique. Sur le fond, le sujet divise. Le sénateur LR, Olivier Paccaud, va jusqu’à parler de « dérive totalitaire », quand la sénatrice PS, Sylvie Robert, salue les propos « salutaires » d’Emmanuel Macron.

Le

Mericourt: Emmanuel Macron meets with  readers of the Ebra group,
6min

Politique

Labels et régulations des médias : ce qui existe en France et en Europe

En lançant l’idée de la création d’un « label » pour les médias, Emmanuel Macron a suscité un tollé dans une partie de la classe politique. Pourtant, en France et en Europe, de nombreux acteurs, publics et privés, participent à la régulation des médias et cherchent à orienter la production des contenus vers un respect maximum des règles d’éthique et de déontologie.

Le

L’Elysée dément des travaux pour Benalla dans un logement public à Paris
3min

Politique

Lutte contre la vie chère : Le Sénat vote la pérennisation du taux de TVA à 0 % sur les produits de première nécessité en Outre-mer

Un mois après l’adoption du projet de loi contre la vie chère, le Sénat a inscrit dans le budget 2026 l’un des engagements du gouvernement après les manifestations qui avait secoué la Martinique l’année dernière. Alors qu’il est prévu jusqu’à fin 2027, les élus ont voté le taux de TVA à 0 % sur les produits de première nécessité en Guadeloupe, Martinique et à La Réunion.

Le

Draguignan:  David Rachline appeared in criminal court
2min

Politique

David Rachline démissionne de la vice-présidence du RN

Visé par plusieurs enquêtes, le maire de Fréjus, David Rachline, a annoncé mardi sa démission de la vice-présidence du Rassemblement national. À 37 ans, l’un des plus anciens cadres du mouvement dit vouloir éviter que les accusations le visant ne parasitent la campagne du RN.

Le