Loiseau serait « ravie » que Macron participe à un meeting de campagne
Nathalie Loiseau, tête de liste LREM aux élections européennes, a affirmé dimanche qu'elle serait "ravie" qu'Emmanuel Macron...

Loiseau serait « ravie » que Macron participe à un meeting de campagne

Nathalie Loiseau, tête de liste LREM aux élections européennes, a affirmé dimanche qu'elle serait "ravie" qu'Emmanuel Macron...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Nathalie Loiseau, tête de liste LREM aux élections européennes, a affirmé dimanche qu'elle serait "ravie" qu'Emmanuel Macron participe à l'un de ses meetings de campagne, et dénoncé les propos "haineux" de Marine Le Pen à l'encontre du chef de l'Etat.

Emmanuel Macron "s'exprime sur l'Europe régulièrement, c'est une de ses passions", a-t-elle déclaré au Grand Jury RTL, Le Figaro, LCI.

Interrogée sur la présence éventuelle du chef de l'Etat à son côté lors d'un meeting, elle a affirmé : "Je serais ravie qu'il vienne, les militants seraient enchantés, mes colistiers aussi et il fera ce qu'il veut".

"Nous avons la chance d'avoir un chef de l'Etat qui a aujourd'hui le leadership dans l'Union européenne", a-t-elle ajouté, affirmant sa "pleine confiance" dans son engagement "pour que la France pèse en Europe".

A propos des derniers sondages qui donnent le Rassemblement national devant La République en Marche en tête des intentions de vote, elle a souligné que l'écart était "dans la marge d'erreur".

Un sondage Harris Interactive créditait samedi le RN de 22,5% et LREM alliée au MoDem de 22%.

"Cela dit que le risque est toujours là, que ceux qui nous avaient accusés de parler d'un risque de victoire du Rassemblement national n'avaient pas vu la réalité, ça dit que rien n'est gagné, qu'il faut se battre", a ajouté Nathalie Loiseau.

Interrogée sur les propos de Marine Le Pen qui a affirmé dimanche qu'Emmanuel Macron "transforme tout en malaise", elle a dénoncé "les propos systématiquement haineux, polémiques, de caniveau de la patronne du Rassemblement national, qui, elle, fait campagne à la place de Jordan Bardella", la tête de liste RN.

dch/cs/nm

Partager cet article

Dans la même thématique

Capture
5min

Politique

Un accord de libre-échange entre la Chine et l'Union européenne serait "extrêmement dangereux" pour cette eurodéputée

Scandale Shein, restrictions sur les terres rares, déferlement d'exportations sur le Continent : ces dernières semaines ont fourni aux européens de nombreux motifs d'inquiétude dans leur relation avec Pékin. Alors que Donald Trump a scellé un accord d'un an avec le président Xi Jin Ping, l'UE semble sur le banc de touche. Un sursaut est-il possible ? Ou bien sommes-nous condamnés à rester à la remorque de la Chine ? Débat dans "Ici l'Europe" avec les eurodéputés Sandro Gozi (Renew, France) et Estelle Ceulemans (S&D, Belgique).

Le

Photo Cazeneuve
11min

Politique

Attentats du 13 novembre 2015, le récit de Bernard Cazeneuve : « Très vite, on a conscience que nous sommes confrontés à une attaque de grande ampleur »

ENTRETIEN - Dix ans après les attentats de Paris et de Seine-Saint-Denis, qui ont coûté la vie à 130 personnes, l'ancien ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, revient auprès de Public Sénat sur cette nuit de terreur, et la gestion de crise aux côtés du Président de la République et du Premier ministre.

Le

Loiseau serait « ravie » que Macron participe à un meeting de campagne
3min

Politique

« Il n’y a aucune délinquance dans les écoles de musique », affirme le chef d’orchestre Jean-Claude Casadesus

Il est sans conteste le maestro français le plus célèbre de sa génération. A 92 ans, Jean-Claude Casadesus continue de remplir les plus belles salles du monde sans jamais renier son attachement à la région du Nord. Lui qui a créé puis dirigé l’orchestre national de Lille, s’est engagé toute sa vie pour rendre la musique classique accessible à tous. Invitée de Rebecca Fitoussi dans Un monde, Un regard, Il revient sur son immense carrière marquée par la passion et le partage.

Le

Paris: Senate pension debat
6min

Politique

Retraites : la gauche du Sénat désunie sur la suspension de la réforme

A partir du 19 novembre, le Sénat examinera en séance publique le projet de loi de financement de la Sécurité sociale et sa mesure phare : la suspension de la réforme des retraites. Une concession du gouvernement faite au PS qui n’a aucune chance d’être adoptée à la haute assemblée à majorité de droite. Les socialistes ne devraient également ne pas être suivis par les communistes et écologistes sur le vote de cette mesure.

Le