Macron s’est entretenu par téléphone avec le roi de Jordanie
Emmanuel Macron s'est entretenu mercredi par téléphone avec le roi de Jordanie, Abdallah II, à qui il a annoncé "une contribution...

Macron s’est entretenu par téléphone avec le roi de Jordanie

Emmanuel Macron s'est entretenu mercredi par téléphone avec le roi de Jordanie, Abdallah II, à qui il a annoncé "une contribution...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Emmanuel Macron s'est entretenu mercredi par téléphone avec le roi de Jordanie, Abdallah II, à qui il a annoncé "une contribution française au maintien de la sécurité" le long de la frontière syro-jordanienne, a indiqué l'Élysée.

Le président de la République "a échangé avec le roi de Jordanie sur la lutte contre le terrorisme, en particulier contre Daech (organisation État islamique, ndlr) dans le cadre de la coalition internationale" et "a annoncé une contribution française au maintien de la sécurité le long de la frontière syro-jordanienne", a précisé l'Élysée dans un communiqué, alors qu'Emmanuel Macron a par ailleurs invité le roi jordanien à se rendre en France dans les prochains mois.

Abdallah II avait été reçu pour la dernière fois à l'Élysée en décembre.

"L'entretien a également porté sur les questions régionales, et tout particulièrement la Syrie. La situation dans le sud du pays et dans le gouvernorat d'Idlib a été abordée, ainsi que la question du retour des réfugiés, qui devra être accompagné par la communauté internationale dans des conditions sûres et équitables", poursuit le communiqué.

Emmanuel Macron a par ailleurs présenté ses condoléances à son homologue, après une attaque contre un véhicule d'une patrouille de sécurité dans la région d'al-Fuhais, à une dizaine de kilomètres à l'ouest d'Amman, et un raid, le lendemain, à Salt, au nord-ouest de la capitale, où étaient retranchés des membres d'une cellule terroriste, et qui ont fait en tout six morts parmi les forces de sécurité jordaniennes.

En vacances à Brégançon, Emmanuel Macron poursuit une intense activité diplomatique, s'entretenant avec divers chefs d'État. Il avait notamment reçu la Première ministre britannique la semaine dernière et échangé par téléphone avec Donald Trump le week-end dernier.

Partager cet article

Dans la même thématique

Paris : Francois Bayrou recoit Marine le Pen et Jordan Bardella
3min

Politique

Le sénateur PS Eric Kerrouche veut empêcher le RN de « violer la Constitution » pour en faire « un régime autoritaire »

Les sénateurs PS défendent une proposition de loi constitutionnelle qui limite strictement toute modification de la loi de 1958 au seul article 89 de la Constitution. Une réaction à un texte du RN sur l’immigration, qui reviendrait à transformer la France en « régime autoritaire, avec des mesures illibérales », selon le sénateur PS Eric Kerrouche.

Le

Paris : session of questions to the government at the Senate
6min

Politique

Sébastien Lecornu aux sénateurs : « Je ne serai pas le premier ministre qui fera une passation de pouvoir avec Jordan Bardella »

Alors que les relations se sont dégradées entre la majorité sénatoriale et le premier ministre, Sébastien Lecornu s’est rendu à la conférence des présidents du Sénat. Si le geste « a été salué par le président Larcher », il reste insuffisant pour gommer les « frustrations » de sénateurs qui apprennent maintenant les concessions faites au PS « en regardant la télé ». Cherchant à « dramatiser », selon l’un des participants, « il a dit que "censure vaudra démission et que ça vaudra dissolution" ».

Le

France Macron
5min

Politique

« Demain soir, si tout va bien, Alfred Dreyfus sera général » : le Sénat s’apprête à voter un « texte très symbolique », malgré quelques difficultés…

Les sénateurs examinent ce jeudi la proposition de loi de Gabriel Attal élevant à titre posthume Alfred Dreyfus au grade de général de brigade. Les sénateurs PS, qui ont déposé un texte identique via Patrick Kanner, ont repris à leur compte le texte de l’ancien premier ministre pour lui permettre d’aller au bout, malgré les « réserves », voire l’opposition « d’Emmanuel Macron », selon le patron des sénateurs PS.

Le