Macron sur Benalla: « Le responsable c’est moi »
Dans l'affaire Benalla, "le responsable c'est moi", a affirmé mardi Emmanuel Macron devant des députés de la majorité, fustigeant...

Macron sur Benalla: « Le responsable c’est moi »

Dans l'affaire Benalla, "le responsable c'est moi", a affirmé mardi Emmanuel Macron devant des députés de la majorité, fustigeant...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Dans l'affaire Benalla, "le responsable c'est moi", a affirmé mardi Emmanuel Macron devant des députés de la majorité, fustigeant "la République des fusibles" et disant avoir ressenti les "actes du 1er-Mai" de son collaborateur comme "une trahison", selon des propos rapportés.

"Ça n'est pas la République des fusibles, la République de la haine. On ne peut pas être chef par beau temps. S'ils veulent un responsable, il est devant vous. Qu'ils viennent le chercher. Je réponds au peuple français", a déclaré le chef de l’État devant des élus et plusieurs membres du gouvernement, alors que son silence suite à l'affaire Benalla lui a été reproché par les oppositions.

Partager cet article

Dans la même thématique

Macron sur Benalla: « Le responsable c’est moi »
5min

Politique

Financement de la lutte contre les violences faites aux femmes : « Il faut donner à l’administration les moyens de ses missions », prévient la commission des finances

Cinq ans après un premier rapport sur le financement de la lutte contre les violences faites aux femmes, les sénateurs Arnaud Bazin et Pierre Barros ont présenté ce jeudi 3 juillet un nouveau rapport sur le sujet. Les deux élus pointent un financement trop faible et une politique publique peu lisible.

Le

Macron sur Benalla: « Le responsable c’est moi »
2min

Politique

Travail le 1er mai des boulangers et des fleuristes : « Nous souhaitons évidemment protéger ce 1er mai, mais par contre nous souhaitons clarifier la situation »

Invitée de la matinale de Public Sénat, la sénatrice de Vendée, Annick Billon, a défendu les principes de sa proposition de loi visant à permettre aux fleuristes et aux boulangers d’ouvrir le 1er mai. Un texte qui vise à éviter que ces commerçants soient exposés à des amendes en cas d’ouverture.

Le