Politique
Le Collège-Lycée expérimental d’Hérouville-Saint-Clair invente une école différente. Créé en 1982 par une poignée de professeurs, cet établissement du Calvados propose des horaires aménagés pour mieux respecter le rythme de l’enfant.
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Par Public Sénat
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Marlène Schiappa envisage de se présenter à la tête de La République en Marche, le parti d'Emmanuel Macron dont la direction est vacante depuis la nomination de Christophe Castaner place Beauvau, annonce la secrétaire d'Etat dans le Journal du Dimanche.
"Je réfléchis à présenter ma candidature mais nous verrons quand le moment sera venu", confie la secrétaire d'Etat à l'Egalité entre les femmes et les hommes, qui vient de voir son portefeuille élargi à la Lutte contre les discriminations.
Le communicant Philippe Grangeon, proche d'Emmanuel Macron, a été choisi vendredi par le bureau exécutif de La République en marche pour assurer l'intérim à la tête du parti présidentiel.
Outre Mme Schiappa, plusieurs figures du parti ont marqué leur intérêt pour en prendre la direction, et notamment les députés de Paris Stanislas Guerini, Pierre Person et Sylvain Maillard, ou encore le député des Français de l'étranger Joachim Son-Forget. L'appel à candidatures sera formellement lancé à partir du 29 octobre et jusqu'au 14 novembre.
"Le parti est un tout jeune parti", plaide Marlène Schiappa dans le JDD. "Il a été un bébé, a appris à marcher. Nous sommes désormais sur nos deux jambes et nous pourrions nous politiser encore plus", explique l'élue au Mans, adhérente de la première heure de la formation majoritaire à l'Assemblée.
Mme Schiappa assure n'avoir "aucun adversaire" au sein de LREM, "parce que nous sommes unis autour d’un projet, du Président de la République".
"La structuration dans les territoires, la communication politique", et "les valeurs et les idées", sont à ses yeux les éléments essentiels d'un parti qui se doit de "soutenir les équipes dans les territoires, mettre de l’huile dans les rouages".
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