Victoire à Nancy : « Ce n'est pas pour moi la victoire d'un camp sur un autre [...] Il y a un alliage aujourd'hui d'attentes de changements, d'attentes de nouveaux projets et c'est tout ceci qui a permis de nous conduire à cette victoire historique »
100 jours déterminants pour Nancy : « J'ai voulu donner un signe d'engagement. Il n'y aura pas de temps mort dans ce mandat, pas de moment de relâche. Nous sommes dans une crise sanitaire qui n'est pas terminée, un choc économique d'ampleur inégalée »
Mobilités : « Nous devons aussi faire un choix résolu en matière de mobilités. Il faut proposer des alternatives sérieuses pour les 100 000 personnes qui entrent chaque jour dans la métropole de l'extérieur pour y travailler, y étudier ou y consommer »
Renforcer la participation citoyenne : « Les citoyens ne sont pas que des électeurs qui sont appelés aux urnes tous les 5 ou 6 ans. Ils ont envie d'être acteurs. Nous voulons leur proposer des espaces leur permettant de pouvoir agir au quotidien »
Travailler avec la ville de Metz et François Grosdidier ? « Les antagonismes hérités de la guerre de 1870, à mon sens, doivent aujourd'hui appartenir à l'histoire. Nous avons des défis communs, notamment celui de l'université de Lorraine »
Décentralisation : « On ne peut pas dire aux collectivités "on vous donne plus de responsabilités" et installer au même niveau des étages déconcentrés de l'Etat. Il faut une véritable décentralisation qui repose sur une confiance en les élus locaux »
Relancer la réforme des retraites : « Je comprends qu'aujourd'hui, notamment face au risque économique et social dans nos territoires qui s'annonce, nous devons d'abord parler formation, emploi, emploi des jeunes »
Julien Bayou veut présenter un candidat écologiste dans toutes les régions aux élections régionales : « Si cela implique de nouer des alliances tantôt conduites par EELV, tantôt par des socialistes ou des communistes, oui c'est un bon chemin »