Par Oriane Mancini
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Publié le
Affaire Kohler : « A l'époque Emmanuel Macron était son employeur. Je ne vois pas pourquoi il ne pouvait pas justifier d'échanges qu'il avait tenus avec son salarié, son collaborateur »
Tournant du quinquennat : « La crise qui va venir va impacter massivement les plus précaires et je ne connais pas une crise qui donne plus de justice a posteriori de son impact donc il va falloir que nous soyons au rdv pour aider les Français » « Je pense que notre modèle institutionnel et démocratique doit être revu [...] Je pense que la vie démocratique doit être réinventée dans notre pays »
6 milliards € pour les soignants : « Quand j'entends parfois une partie de l'opposition qui dit "C'est la macronie qui a tué le service public l'hospitalier" on marche sur la tête ! »
Réforme des retraites : « Je ne sais pas si c'est la même réforme en tant que telle dans toutes les dispositions mais en tout cas le principe, la genèse même de cette réforme n'a pas changé car les injustices sont toujours aussi présentes »
Audition du Pr. Raoult : « Aujourd'hui il y a un scientifique qui prend toute la lumière, au détriment d'ailleurs de centaines d'autres [...] Je pense que les thèses de M. Raoult ne valent pas plus que les thèses d'autres épidémiologistes »
Municipales : « Le match n'est jamais plié avant d'avoir dépouillé le dernier bulletin de vote [...] Il y a des endroits à Paris où nous pouvons gagner, certains arrondissements où nous pouvons faire des scores » « Bien entendu que c'est un scrutin qui est compliqué pour un parti au pouvoir, pour un jeune parti mais notre objectif c'est d'implanter notre jeune force politique dans le paysage politique. Nous avons pu semer les premières graines » « Je pense qu'il faudra travailler pour que la majorité soit plus solide parce que nous avons aujourd'hui une majorité qui est diverse, qui est riche en sensibilités et nous devons travailler à la construction de cette majorité »
Politique
Le chef de l'Etat a prononcé jeudi 25 avril à la Sorbonne un long discours pour appeler les 27 à bâtir une « Europe puissance ». À l’approche des élections européennes, son intervention apparait aussi comme une manière de dynamiser une campagne électorale dans laquelle la majorité présidentielle peine à percer. Interrogés par Public Sénat, les communicants Philippe Moreau-Chevrolet et Emilie Zapalski décryptent la stratégie du chef de l’Etat.
Le
Politique
Discours d’Emmanuel Macron sur l’Europe : on vous résume les principales annonces
Sept ans après une allocution au même endroit, le président de la République était de retour à La Sorbonne, où il a prononcé ce jeudi 25 avril, un discours long d’1h45 sur l’Europe. Se faisant le garant d’une « Europe puissance et prospérité », le chef de l’Etat a également alerté sur le « risque immense » que le vieux continent soit « fragilisé, voire relégué », au regard de la situation internationale, marquée notamment par la guerre en Ukraine et la politique commerciale agressive des Etats-Unis et de la Chine.
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Politique
Après la Cour de Justice de l’Union européenne et le Conseil d’Etat, c’est au tour de la Défenseure des droits d’appeler le gouvernement à faire cesser « les procédures et pratiques » qui contreviennent au droit européen et au droit national lors du contrôle et l’interpellation des étrangers en situation irrégulière à la frontière franco-italienne.
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Politique
Elections européennes : quelles sont les règles en matière de temps de parole ?
Alors que le président de la République prononce un discours sur l’Europe à La Sorbonne, cinq ans après celui prononcé au même endroit lors de la campagne présidentielle de 2017, les oppositions ont fait feu de tout bois, pour que le propos du chef de l’Etat soit décompté du temps de parole de la campagne de Renaissance. Mais au fait, quelles sont les règles qui régissent la campagne européenne, en la matière ?
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Le Sénat adopte une proposition de loi pour limiter le droit de grève