Popularité: Macron et Philippe en hausse
Les popularités d'Emmanuel Macron (37%) et d'Edouard Philippe (41%) sont en forte hausse (+3 points chacun) sur un mois, selon un...

Popularité: Macron et Philippe en hausse

Les popularités d'Emmanuel Macron (37%) et d'Edouard Philippe (41%) sont en forte hausse (+3 points chacun) sur un mois, selon un...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Les popularités d'Emmanuel Macron (37%) et d'Edouard Philippe (41%) sont en forte hausse (+3 points chacun) sur un mois, selon un sondage BVA diffusé vendredi.

63% (-3 pts) des personnes interrogées ont cependant toujours une mauvaise opinion du chef de l'Etat et 58% (-4 pts) du Premier ministre.

Pour la première fois depuis juillet 2018, le président de la République repasse au-dessus de la barre des 35% d'opinions favorables, selon cette enquête pour Orange, RTL et La Tribune.

Emmanuel Macron a ainsi regagné la quasi-totalité des points perdus au second semestre 2018 (+11 points depuis novembre dernier) et se rapproche du niveau qui était le sien avant que n’éclatent l’affaire Benalla puis la crise des gilets jaunes.

La popularité du chef de l'Etat effectue une remontée notable auprès des jeunes (33%, +5), des professions intermédiaires (38%, +7) et surtout des sympathisants PS (42%, +14), qui sont désormais plus nombreux que les sympathisants LR à avoir une bonne opinion de lui (39%, -2).

La popularité du couple exécutif a connu la même embellie dans le baromètre de l'action publique d'Ipsos pour Le Point publié mercredi, avec une hausse de respectivement 5 points pour Emmanuel Macron (à 36% d'opinions favorables) et 2 points pour Edouard Philippe (34%).

Sur le podium des personnalités politiques, Nicolas Hulot, avec 41% (+1) des Français qui souhaitent qu’il ait de l’influence à l’avenir sur le plan politique, conserve la première position, loin devant tous les autres.

Marine Le Pen occupe la deuxième place (29%, +2) et continue de bénéficier d’un soutien massif de ses sympathisants, qui sont 91% à souhaiter qu'elle joue un rôle à l’avenir.

Le président de la Région Hauts-de-France Xavier Bertrand arrive en 3e position (28%, +3), juste devant Nicolas Sarkozy (27%, stable).

Enquête réalisée en ligne du 18 au 19 septembre auprès de 1.004 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d'erreur de 1,4 à 3,1 points.

Partager cet article

Dans la même thématique

Capture 2
3min

Politique

Cancers : l’Union européenne n’a pas « d’excuse pour ne rien faire »

Un sommet européen sur le Cancer doit se tenir à Bruxelles du 19 au 20 novembre. Il s’agit de la deuxième cause de mortalité sur le Vieux Continent. Chaque année, 2,6 millions de nouveaux cas sont diagnostiqués. Tabac, alcool, pesticides, polluants divers, nos modes de vie et conditions de travail sont en cause. Alors, comment endiguer le fléau du cancer dans l’Union européenne ? Pourquoi sommes-nous aussi touchés ? Ici l’Europe ouvre le débat avec les eurodéputés Laurent Castillo (PPE, France) et Tilly Metz (Verts, Luxembourg). L'UE n'a pas "d'excuse pour ne rien faire", estime cette dernière.

Le

Paris : session of questions to the government at the Senate
9min

Politique

Face à un « budget cryptosocialiste », la majorité sénatoriale veut « éradiquer tous les impôts » votés par les députés

Ils vont « nettoyer » le texte, le « décaper ». Les sénateurs de droite et du centre attendent de pied ferme le budget 2026 et le budget de la Sécu. Après avoir eu le sentiment d’être mis à l’écart des discussions, ils entendent prendre leur revanche, ou du moins défendre leur version du budget : plus d’économies et faire table rase des impôts votés par les députés.

Le

Marseille: Amine Kessaci candidate
4min

Politique

Assassinat du frère d’Amine Kessaci : le militant écologiste engagé contre le narcotrafic était « sous protection policière et exfiltré de Marseille depuis un mois »

Le petit frère d’Amine Kessaci, jeune militant écologiste marseillais, connu pour son combat contre le narcotrafic, a été tué par balles jeudi soir à Marseille. L’hypothèse d’un assassinat d’avertissement est privilégiée et pourrait faire basculer la France un peu plus vers ce qui définit les narco Etats. C’est ce que craignaient les sénateurs de la commission d’enquête sur le narcotrafic. Le sénateur écologiste de Marseille Guy Benarroche, proche d’Amine Kessaci a pu s’entretenir avec lui, ce matin.

Le