Les actionnaires de Stellantis ont validé mardi 16 avril une rémunération annuelle à hauteur de 36,5 millions d’euros pour le directeur général de l’entreprise Carlos Tavares. Si les sénateurs de tous bords s’émeuvent d’un montant démesuré, la gauche souhaite légiférer pour limiter les écarts de salaires dans l’entreprise.
Quand François Hollande disait « non » à un mandat de sénateur de Corrèze
Par Public Sénat
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« On vous regrette beaucoup (…) Vous êtes retiré de la vie politique intégralement ? » l’interroge une dame venue faire dédicacer un exemplaire des « Leçons du pouvoir » au Salon du livre de Brive-la-Gaillarde, le 10 novembre dernier. « Non, non. Je vais revenir » lui assure l’ancien chef d’État entre deux bises. La scène captée par les caméras de l’émission Quotidien a été diffusée, hier soir.
De quoi nous rendre jaloux. En effet, le 4 octobre dernier, François Hollande était de passage au Sénat. Invité de la matinale de Public Sénat, l’ancien Président s’était ensuite entretenu plusieurs minutes avec des sénateurs socialistes.
Le smartphone, de « L’interview sans fard » était présent et lui avait posé la question d’un possible « come-back » en politique. Faisant semblant de ne pas comprendre, François Hollande avait d’abord éludé. « Un come-back au Sénat ? Mais je n’ai jamais été sénateur, donc… » avait-il objecté.
Un élément de sa biographie qui ne nous avait évidemment pas échappé. Saisissant la balle au bon, nous avions enchaîné : « Justement, sénateur de Corrèze, ce ne serait pas mal pour un retour non ? ».
« Non, non. J’ai beaucoup de respect pour les institutions, pour les élus, une attention pour ce qui se passe au Sénat. Aujourd’hui, j’étais venu pour les rencontrer, répondre aux questions et ne pas annoncer quoi que ce soit ». avait-il clos le débat.
Promis, la prochaine fois on essayera en lui faisant la bise.