« Nous avons signé un arrêté et un communiqué commun avec Nicolas Hulot », a tenu à rappeler Stéphane Travert, qui certifie que l’autorisation du gouvernement pour abattre 40 loups jusqu’en juin 2018 n’a pas entaché ses « excellentes relations » avec le ministre de la Transition écologique et solidaire.
« Nous travaillons ensemble, nous sommes complémentaires. Chacun est dans son rôle et on essaie de trouver des accords gagnant-gagnant. C’est ce qu’on a fait pour le loup ».
Stéphane Travert : "Nous travaillons ensemble, nous sommes complémentaires."
Selon lui, aucune autre solution n’était envisageable pour que les éleveurs puissent protéger leurs bêtes. « Il est difficile de clôturer un pan de montagne complet », a-t-il déclaré pour justifier qu’il n’ait pas opté pour cette option.
Stéphane Travers a également rappelé que « d’ici le 31 décembre (il) all(ait) discuter avec Nicolas Hulot pour avoir plan de gestion pluriannuel », l’objectif étant de « trouver des accords gagnant-gagnant , à la fois pour les éleveurs mais aussi pour celles et ceux qui défendent les loups ». Et de conclure : « Je ne suis pas un ennemi du loup ».
Loups : Stéphane Travers rappelle que « d’ici le 31 décembre (il) all(ait) discuter avec Nicolas Hulot pour avoir plan de gestion pluriannuel »