Allemagne – France : un couple en confinement
Dans un couple, on peut se découvrir même après 70 ans de vie commune. L’Allemagne se déconfine, L’Allemagne a des masques, l’Allemagne a plus de lits de réanimation… La chancelière continue de pousser son caddie au supermarché et en plus elle injecte plus de 150 milliards dans l’économie nationale. Alors quel virus a piqué Angela Merkel ? Et comment les Français perçoivent leurs voisins outre Rhin depuis quelques semaines ?

Allemagne – France : un couple en confinement

Dans un couple, on peut se découvrir même après 70 ans de vie commune. L’Allemagne se déconfine, L’Allemagne a des masques, l’Allemagne a plus de lits de réanimation… La chancelière continue de pousser son caddie au supermarché et en plus elle injecte plus de 150 milliards dans l’économie nationale. Alors quel virus a piqué Angela Merkel ? Et comment les Français perçoivent leurs voisins outre Rhin depuis quelques semaines ?
Marie Lebon

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A circonstances exceptionnelles, communication exceptionnelle, depuis le début de la crise du Coronavirus, Angela Merkel insiste sur la solidarité européenne dans des tweets largement diffusés en plusieurs langues.

En Allemagne, elle adopte un discours très solennel en insistant sur une situation inédite « depuis la fin de la Seconde guerre mondiale » et en mettant en avant son attachement personnel d’ex-allemande de l’Est à la liberté. « Un discours de prudence qui marche bien en Allemagne » pour Christian Lequesne politologue, spécialiste de l’Europe à Sciences Po.

Déroutés par cette réussite de l’Allemagne, les Français s’interrogent sur les réseaux sociaux comme le montrent les chiffres de Dentsu Consulting.

Comment l’Allemagne reste-t-elle efficace sur le plan économique ? Peut-on comme elle, autoriser les familles à rendre visite aux malades en fin de vie à l’hôpital ? Benjamin Grange décrypte ce modèle allemand qui questionne la France.

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L’examen de la proposition de loi sur le droit à l’aide à mourir n’a pas été inscrit à l’agenda du Sénat dans les prochaines semaines. Même situation pour le texte sur l’amélioration des soins palliatifs. Si la droite s’inquiétait d’un délai trop serré pour étudier ces questions sensibles avant le budget, la gauche dénonce, elle, « un prétexte de calendrier » pour repousser les débats.

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