Par Public Sénat
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Qui était vraiment Bob Denard, le mercenaire qui défraya la chronique pendant plus de trois décennies, instigateur de plusieurs coups d’Etat notamment au Nigeria, au Bénin et aux Comores ? Un idéaliste ? Un ambitieux avide d’honneur ? Un aventurier obsédé par l’argent ?
Le réalisateur Thomas Vincent nous apporte une réponse tout en finesse dans le film « Mister Bob ». Il nous emmène au Congo, entre 1965 et 1967, où se déroule un conflit sanglant entre les partisans de l’indépendance du Katanga et le nouvel homme fort, le président Mobutu, interprété par un Marc Zinga plein de force et de finesse.
Très versatile, Robert Denard représente quant à lui le visage caché de la France après la décolonisation, tirant des ficelles pour préserver ses intérêts, sans se soucier vraiment des populations soumises aux violences des soudards.
Ses choix sont dictés par des pulsions contradictoires et son allégeance aux services secrets français.
Un militaire en mal de reconnaissance, manipulateur ou manipulé ? C’est tout l’art de Clovis Cornillac que d’avoir su rendre à l’écran la figure de ce soldat de fortune.
Retouvez Potilique Fictions sur Public Sénat samedi 23 septembre à 23h30.
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Logement : une proposition de loi communiste pour encadrer le prix du foncier
Pour répondre à la crise du logement, le groupe communiste du Sénat propose d’encadrer les prix du foncier, afin de favoriser la construction de logements sociaux et l’accession à la propriété. Le dispositif serait calqué sur l’encadrement des loyers, déjà en vigueur dans une dizaine de métropoles.
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Le ministre de la Justice Gérald Darmanin a annoncé lundi sa volonté de « modifier la loi » pour faire « contribuer » les détenus à une partie de leurs frais d’incarcération. « On est dans la démagogie la plus caricaturale », réagit sur Public Sénat le sénateur socialiste Jérôme Durain, co-rapporteur de la proposition de loi sur le narcotrafic qui devrait être définitivement adoptée par l’Assemblée nationale ce mardi. L’élu dénonce une « surenchère sécuritaire ».
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L’intégration dans le Code pénal de cette notion, développée dans les années 1970 pour décrire certains aspects des violences conjugales, a nourri de vifs débats au Sénat jeudi 3 avril. Les élus ont renoncé à la faire entrer strico-sensu dans la loi, mais ils s’en sont inspirés pour revoir la définition pénale du harcèlement sur conjoint.
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Pour que les populations soient préparées en cas de crise, la Commission européenne conseille aux citoyens d’avoir un « sac de résilience » avec tout ce qu’il faut pour tenir, en cas de catastrophe naturelle… ou de guerre. « Le but n’est pas de faire peur aux gens », soutient le sénateur LR Cédric Perrin, mais « d’anticiper les situations ». La France prépare un livret de survie, sur le modèle suédois.
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Aides publiques aux entreprises : audition de l'ancien PDG d'EDF